Georges
Datte: 03/12/2017,
Catégories:
fh,
uniforme,
amour,
jalousie,
Oral
pénétratio,
fdanus,
historique,
amourdram,
... devoir de le lécher des testicules au méat avec la pointe de sa langue. Bientôt, elle emboucha son gland et le suçota doucement. Il ne put réprimer un râle de plaisir. Il avait l’impression que son sexe grandissait au rythme de la succion. C’était être au paradis et en enfer en même temps, il voulait que ça ne s’arrête jamais, mais la sensation était tellement intense qu’il ne savait pas si son cœur allait tenir le coup encore longtemps. Elle faisait maintenant de lents va-et-vient avec sa tête le long de sa hampe tandis qu’il avait l’impression que sa langue s’enroulait autour de son sexe pour l’essorer encore plus. Il savait, il le sentait, il n’allait pas tarder à rendre les armes. — Stop ! Arrête, arrête, arrête ! Sinon je vais tout lâcher dans ta bouche ! supplia-t-il.— Et alors ? Tu n’as pas envie ? dit-elle coquine avant de reprendre son dur labeur.— En toi ! Je veux venir en toi. Elle fit une moue de dépit, donna un dernier coup de langue revanchard, qui ne manqua pas de le faire frissonner de la tête aux pieds, et remonta le long de son corps à quatre pattes. Une fois arrivée à sa bouche, elle l’embrassa goulûment et, dans le même élan, elle s’empala sur son sexe qu’elle maintenait dressé de sa main gauche. Ainsi soudés l’un à l’autre aucun des deux ne bougea. Il savourait ce baiser, où leurs deux langues se cherchaient inlassablement, mais aussi et surtout la sensation de son sexe dans cette grotte chaude et humide, un nid douillet ou il était bon de mourir. Petit à ...
... petit elle commença à onduler son bassin. Cette danse du ventre se fit de plus en plus rapide, se calant au rythme de leur baiser. Les soupirs commencèrent à s’échapper de leurs bouches soudées. Il profita d’une plainte qu’elle laissa échapper pour se lancer à la conquête de son cou, elle positionna son corps un peu plus en avant afin qu’il puisse lui gober ses seins, ce dont il ne se fit pas prier. Dans cette nouvelle position, il n’y avait plus que son gland qui était en elle, mais il s’en moquait, il se délectait des tétons qui pendaient au-dessus de lui, il les emprisonnait entre ses dents et tirait dessus jusqu’à ce qu’ils se libèrent, elle proposait alors son autre sein auquel il donnait le même traitement. Une de ses mains caressait le dos et la croupe de sa partenaire, et un de ses doigts alla titiller l’anus de celle-ci, allant jusqu’à le pénétrer, ce qu’elle accompagna d’un gémissement significatif. Soudain elle se releva et s’empala sur son sexe. Ses rotations du bassin se firent de plus en plus frénétiques, ses cris de plus en plus perçants. Elle s’accrocha aux montants du lit, alors il la souleva par les cuisses et la pilonna de plus en plus vite. Il sentit qu’elle partait, qu’elle était en train de jouir, alors dans un dernier coup de reins il s’abandonna en elle en grognant. Elle s’écroula sur lui et ils restèrent ainsi immobiles reprenant leur souffle. Elle lui murmura à l’oreille un « je t’aime » rempli de bonheur enfantin d’être dans les bras de celui qu’on ...