Il avait un joli nom mon guide. Nathalie
Datte: 04/12/2017,
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... par de lents mouvements comme pour en traire le jus. C’est fini. Déjà elle s’essuie avec le Sopalin. Elle nous rejoint et c’est seulement à cet instant que le jeune nous découvre. Que va-t-il penser alors que déjà nous quittons la pièce ? Dans la rue, je regarde s’il ne nous suit pas. Mais non, il doit être sidéré de ce qui lui est arrivé… Nous retrouvons la voiture. Elle était au soleil et c’est une fournaise. Mais si je transpire, c’est aussi de tout ce périple, de mes achats, de cette vision, de cette liberté que nous offrent nos amis, de cette démonstration improvisée par Anne, mais aussi de cette main de Franck posée sur ma cuisse pendant tout le retour. Une main possessive et je vois dans le miroir de courtoisie que mon mari la suit du regard. Une main que je voudrais plus indiscrète en montant vers mon intimité. Mais non, juste une façon de dire« Tu es à moi ». La piscine est un régal après cette chaleur. Il nous paraît une évidence de ne pas mettre de maillot. Jean est à côté de moi, assis sur le bord, les pieds dans l’eau. Nous regardons Franck qui nage. C’est toujours un bonheur de le regarder. Il est capable de traverser le bassin sans respirer. D’ailleurs c’est une torpille qui glisse vers nous. Il fait surface, juste devant nous. Il a pied. Son visage ruisselle, ses yeux brillent. Un pas et il est en face de moi. Cela paraît comme une évidence. Il passe entre mes jambes. Son visage est attiré comme un aimant par… C’est froid, c’est humide, mais déjà je ...
... m’habitue. Sa bouche joue avec mes lèvres. Je m’ouvre. Mes cuisses reposent sur ses épaules. Sa langue entre. Un serpent. Mais un serpent chaud, humide qui ondule et caresse ma fente, mon bouton, mon anus. Je me penche en arrière, bras écartés, en appui. Je ne suis que plaisir, chaleur, glissade. Un instant je pense à mon mari, éclair de lucidité dans un océan de plaisir, d’envies refoulées, de fantasmes censurés. Il bande. Jean bande. Pas un instant je ne doute que c’est de me voir ainsi. Il regarde l’homme qui m’a baisée, qui l’a enculé, me sucer avec gourmandise. Mais c’est un homme à multiples facettes. Alors que je sombre dans la jouissance, je devine plus que je ne vois une main se saisir de la queue dressée pour la caresser. Franck me lutine et en même temps caresse mon mari. Drôle de façon de communier, mais cette perversité est délicieuse. Je sens mon jus couler, autant des caresses que de cette vision. C’est bon. Mais Franck nous abandonne. Il fait les quelques pas qui le séparent de l’échelle et y monte. Il ruisselle, mais mon regard est tout de suite attiré vers son bas-ventre. J’y découvre le plus beau des cadeaux que l’on puisse faire à une femme. Un sexe en érection. Une érection uniquement déclenchée par l’envie. Pas d’attouchement, pas de caresses, non, Franck bande juste de m’avoir sucée. Il est beau, grand, puissant et la main qu’il me tend fait de moi son esclave. Je me lève et, comme cet après-midi, il est mon guide. Mais nous n’allons pas loin. Un fauteuil nous ...