Il avait un joli nom mon guide. Nathalie
Datte: 04/12/2017,
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... arrête. Un fauteuil sur lequel il me pousse. Un fauteuil sur lequel il me fait mettre à genoux, les mains en appui sur le dossier. Il va me posséder ainsi, sous les yeux de mon mari, non pas en épouse qui se donne à un autre, mais en chienne que l’on prend par-derrière. — Avance. Je reconnais la voix de Franck, mais je ne comprends pas ce qu’il veut de moi. Je comprends seulement lorsque je le vois, à côté de moi. Sa verge est presque à ma portée. Je pourrais presque m’en saisir, mais c’est un autre qu’il invite. — Suce-moi. C’est à Jean qu’il s’adresse. Jean qui me jette un regard alors qu’il se penche pour obéir : — Suce-moi bien. Montre à ta femme comme tu suces bien. Prépare-moi pour elle. Je vais la prendre sous tes yeux. Tu en as envie, hein ? Franck a déjà la bouche pleine et c’est donc d’un mouvement des yeux, de la tête et d’un grognement qu’il confirme. Je l’avais vu sucer Franck, mais de bien plus loin. Là, c’est en Cinémascope, gros plan de lèvres qui enveloppent la tige. De lèvres qui coulissent en mouvement d’une fellation magistrale. C’est d’une force incroyable, d’une puissance érotique inimaginable. Mais ce qui est le plus troublant, ce sont les regards que nous échangeons. Vice, perversité, dépravation, luxure, péché, stupre, débauche, licence, corruption des âmes… et bien d’autres mots que j’imagine dans la bouche de mon père, le pasteur, s’il me voyait ainsi. Mais moi je pense : amour, sexualité, plaisir, jouissance. Mais ce ne sont que des mots. En un ...
... regard, ils sont balayés et ce sont nos sens qui nous parlent. Jean suce. Jean pompe. Sa langue trace des sillons de salive sur la hampe. Quel effet cela lui fait-il de me voir si prêt à le regarder ? Cela l’excite, c’est évident. Et moi donc ! Avoir sous les yeux cette queue qui me paraît monstrueuse et qui m’a déjà possédée ainsi que mon mari. Par le cul ! Comment Jean a pu recevoir sans douleur ce monstre ? Mais l’heure n’est plus aux questions. Franck repousse son suceur. Il disparaît à mes yeux. Soudain, je sens ses mains sur mes hanches. — Regarde-bien comme je vais te la défoncer, ta petite femme. Tu la croyais innocente, c’est une chaude du cul. Mais toi, elle te croyait « classique » et tu t’es révélé bi. Quel couple. Regarde. Je ne sais pas si Jean, que je ne vois plus, regarde, mais déjà je sens la queue aux portes de ma chatte. C’est une glissade parfaite. Je suis totalement ouverte, préparée à le recevoir. Il a raison. Je suis une chaude du cul. Sinon pourquoi serais-je si heureuse, si chaude, si excitée de me faire prendre ainsi et sous les yeux de mon mari ? Il est en moi. Ce monstre, long, gros est entré comme un doigt. Je ne peux me retenir de bouger du cul pour bien le sentir, en prendre la mesure. — Tu vois, elle aime. Bien sûr que j’aime. J’aime surtout qu’il me bourre sans retenue, telle une pute à marins qu’un équipage se partage. Le fauteuil bouge. Je m’agrippe de mon mieux. Les mains qui me retiennent aux hanches me font mal. Les ongles pénètrent ma ...