Il avait un joli nom mon guide. Nathalie - Histoires de Sexe

Il avait un joli nom mon guide. Nathalie

... veux bien me mettre de la crème solaire.— Si tu veux. Mon mari se lève, ramasse le tube sur le transat à côté et commence à étaler de la crème sur les épaules de Franck. Franck fait l’indifférent. Il tourne la tête de l’autre côté. Ainsi il ne voit pas que l’érection de Jean repart. — Sur les fesses. Insiste bien, car un coup de soleil sur cette partie est un calvaire. Jean s’applique. Le creux des reins le retient longtemps, mais il se décide pour les fesses. L’érection est évidente. — On dirait que tu as fait cela toute ta vie, dit Franck alors qu’il tourne son visage de l’autre côté. Jean ne peut se cacher. Sa verge gonflée est bien visible et le regard de Franck ne peut l’éviter. — Oh ! C’est moi qui te fais cet effet ? La question ne demande pas de réponse. Sans quitter Jean du regard, Franck se tourne. Maintenant il est sur le dos. Deux sexes d’homme. Un, encore reposé sur le pubis, que son propriétaire réajuste afin qu’il ne penche pas. L’autre en érection, bâton rigide qui se dresse fièrement et ne peut cacher l’envie de son maître. — Elle est belle, dit étonnamment Franck, toujours allongé, et qui tend la main vers la queue de Jean. Une queue qu’il enveloppe, qu’il branle négligemment, mais qui aussitôt tire des soupirs à mon mari. — Suce-moi. Cela paraît une évidence et si simple, deux hommes ensembles. Jean se penche sur le sexe qu’on lui propose. C’est étrange et troublant de le voir ainsi. Les lèvres qui posent le premier baiser sont celles de mon mari. Un ...

... instant je les imagine suivre le même chemin que les miennes il n’y a pas si longtemps. Il suce. Il pompe. Il gobe. Il lèche. Il inonde le vit de sa salive. Il y a encore quelques mois, je ne savais pas que cela existait. Il y a quelques heures, même quelques minutes, jamais je n’aurais imaginé. Non seulement je pensais toujours « Elle » pour ces actions, mais en plus du « Il » masculin ce « il » signifie mon mari, mon époux, mon chéri, mon mec ! Car c’est bien lui que je vois la gorge pleine d’une bite d’homme, la bouche déformée par l’engin de Franck qui a bientôt réagi aux caresses buccales de son suceur alors qu’il continue de le branler de la main. Le couple, oui je peux dire le couple, se caresse. — Tu suces bien, félicite Franck et il ajoute : Je t’ai vu hier soir, avec le gars. Jean se redresse pour regarder son amant : — Ah ! Tu en as parlé à ma femme ?— Non. Pourquoi ? Elle ne sait pas ?— Non, je n’ai pas osé lui dire.— Tu devrais. Elle comprendra. Il ne faut pas vous mentir.— Oui, je sais. Franck se lève. Sa queue est plaquée contre son ventre. — Tu es actif ou passif ? Mais de quoi parle-t-il ? — Les deux, mais je préfère passif.— Ça tombe bien, dit Franck alors qu’il appuie sur sa bite pour la mettre horizontale et la proposer à la bouche de l’homme.— Qu’est-ce que ça veut dire « actif-passif », demandé-je doucement à ma voisine, alors que Jean gobe à nouveau la queue.— Actif, c’est celui qui possède. Passif c’est celui qui reçoit. Je ne comprends pas vraiment, aussi ...