1. Il avait un joli nom mon guide. Nathalie


    Datte: 04/12/2017, Catégories: fh, hh, fhh, hbi, couplus, cocus, vacances, piscine, sexshop, fsoumise, intermast, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, confession,

    ... elle insiste : — Actif, c’est celui qui encule, passif, celui qui se fait enculer. Là c’est clair. Donc Jean aime se faire posséder. Pour l’instant la bite lui remplit la bouche et Franck ne se prive pas de la pousser le plus loin possible alors qu’il maintient la tête de mon mari. C’est un peu moi la nuit dernière. Comme avec moi, la salive coule. Comme avec moi Jean a les yeux remplis de larmes. Ce petit jeu dure un moment et puis Franck se retire : — Viens, dit-il ! alors qu’il se dirige vers nous. Mais il s’arrête sur la terrasse et montrant la table, dit : — Allonge-toi. Mon mari s’exécute. Le store est fermé, aussi il est en plein soleil. Je ne peux m’empêcher de penser que décidément le soleil ou la lumière jouent un rôle de complices parfaits dans tout ce qui nous arrive. C’est lui, enfin je croyais, qui me cachait au regard du nageur l’autre matin. C’est un spot qui a empêché mon mari de me voir dans la chambre du couple. Et c’est le soleil qui nous protège, Anne et moi, derrière le rideau et voyeuses de ce qui se prépare. Jean allongé sur la table, sexe tendu, jambes pendantes. Franck puissant, massif, lui aussi en érection, la queue toujours plaquée contre son ventre. Et de le voir se pencher vers la queue de mon mari pour la gober et jouer avec est encore plus surprenant. Mais il ne joue pas longtemps et se redresse. Il se saisit des mollets de mon époux pour les soulever comme on le fait d’une femme, dégageant l’anus, forçant la salope à se cambrer et faire ...
    ... tomber de la salive sur l’anneau sombre. C’est étonnant de simplicité. Mon mari, les jambes en appui sur les épaules de son amant, n’est plus que le jouet, comme moi je l’ai été de cet homme. Un homme qui pousse sa verge à l’horizontale, qui la dirige pour forcer ce lieu secret et que je vois avancer lentement, d’une poussée régulière confortée par tout le poids du corps. Entendre Jean gémir et dire« Putain, t’es gros », me fait croire que je rêve et que je vais me réveiller. Mais, même dans mes pensées et fantasmes les plus intimes jamais je n’aurais imaginé cela. Déjà l’enculeur bouge. C’est lui l’Actif. Déjà la salope gémit, salope « passive » qui se fait prendre par le cul. Si je fermais les yeux, rien ne pourrait vraiment m’indiquer ce qui se passe. Et pourtant, voir son mari ainsi, possédé, les jambes en l’air comme une femme, se branler la queue, comme une femme caresse son clito, les fesses envahies par ce mandrin si gros et pourtant qui semble glisser avec aisance ne me choque pas tant que cela. Si on m’avait montré ce spectacle il y a quelques jours, j’aurais certainement été choquée, mais en l’espace de quelques heures, j’ai évolué. Cela ne me choque pas de voir Jean s’astiquer la queue pour en extraire des flots de sperme qui maculent son torse et son ventre. Cela ne me choque pas d’entendre ce bruit si caractéristique des chairs qui se heurtent, de ce ventre qui claque contre les fesses de mon mari. Et que dire du bavardage de Franck, bavardage que l’on sent autant ...
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