Quand l'épouse devient la maîtresse - 2
Datte: 05/12/2017,
Catégories:
fhh,
cocus,
inconnu,
hotel,
fsoumise,
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
jouet,
yeuxbandés,
confession,
... du plug. Mais pas plus. Il est idiot ou quoi ? Il n’a pas compris que je veux me faire prendre par les deux, en sandwich, devenir le jambon entre les deux tranches de pain. Rien ne change. Je me penche sur Julien et lui demande à l’oreille : — Dis à ton ami de venir.— Demande-lui, me répond-il. C’est ridicule. Oui, ridicule d’avoir des pensées cochonnes, des envies de baise, d’évoluer comme une pute dans la noirceur de cette chambre et avoir peur de parler. — Venez… « Quelle conne, je vouvoie un gars qui m’a baisé et juté dans la bouche ! » — Viens, s’il te plaît… Julien est écroulé de rire ; je sens sa bite bouger sous ses secousses. — La madame te demande de bien vouloir… Au fait, belle inconnue, que veux-tu ? dit-il, toujours hilare. Je comprends ce que lui veut. Il veut m’entendre… — Enlève… Le premier mot est une déchirure. Le second s’enchaîne plus facilement. — Enlève le plug. Cette fois, l’ami s’exécute. Il tire sur le disque et lentement, lentement, extrait la pièce de mon cul. Il ressort bien plus facilement qu’il n’est entré, même si la queue de Julien comprime le passage. Je m’attends presque à entendre le bruit d’un bouchon que l’on arrache d’une bouteille, mais non. Je ne ressens qu’un vide qui ne demande qu’à être comblé. — Encule-moi ! dis-je, étonnée qu’un tel langage soit le mien. Mais en le disant, je comprends toute la puissance de ces mots, leur contribution à la réalisation de mon fantasme. Ce n’est pas du vice, c’est juste extérioriser ce que l’on ...
... pense au plus profond, une fois la protection d’éducation chrétienne oubliée. — Allez, dépêche-toi, je me referme. L’ami ne se le fait pas dire deux fois, et alors que sa queue se fraie un chemin dans mon anus, je regrette mon ordre. Il me déchire le fion, éclate ma rondelle et pousse son vit dans mon cul sans plus de questions. Le temps de dire « ouf » et me voila enculée jusqu’à l’os. « Marc, au secours ! » Je suis allée trop loin. Je ne suis pas une putain avec ses trous si dilatés par les queues que plus rien ne surprend. Moi si. Je comprends l’expression « être pleine ». Si je l’ai déjà utilisée, ce n’était pas à bon escient. Maintenant, je suis pleine ! Pleine de ces deux mandrins, qui dans ma chatte, qui dans mon cul, repoussent les limites du raisonnable. Mais le vice n’a pas de limite. Une fois la gêne passée, je n’ai plus qu’une envie : jouir. Jouir du con, jouir du cul. Couler et inonder mes envahisseurs sous des flots de mouille avant qu’eux-mêmes crachent leur jus sur mon corps ou dans ma gorge. La suite, je n’en m’en souviens pas vraiment. La seule chose qui me reste, c’est que Julien m’a bâillonné les lèvres de sa main car je gueulais trop fort et que les voisins risquaient de se plaindre. Moi, je ne me suis pas plainte. J’ai rempli ma mission, mon fantasme ; et si je ne me souviens pas de tout, c’est que pour la première fois de ma vie ma jouissance a été si forte que j’ai atteint cette « petite mort » que beaucoup de femmes espèrent. —ooOoo— Deux heures du matin… ...