Rêve d'amour
Datte: 06/12/2017,
Catégories:
hh,
voisins,
campagne,
train,
revede,
Oral
hdanus,
hsodo,
fantastiqu,
inithh,
Gay
... se changea en plaisir. Il était bien, il était le fourreau de cet énorme sabre, il n’avait plus d’autre vocation que de l’envelopper, que de le sentir en lui ; il se mit à gémir doucement. Jérôme, alors, commença à aller et venir, doucement d’abord, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Il n’avait pas, c’était visible, l’intention de faire traîner les choses, il voulait parvenir à la conclusion, sans hâte intempestive, mais rapidement tout de même. Adrien, s’il eût été en état de penser, se serait fait la réflexion que c’était là l’étreinte à la hussarde, violente, rapide, sans sentiments, à laquelle il avait si souvent imaginé se livrer avec Jérôme, et que Jérôme, d’une manière ou d’une autre, l’avait deviné. Mais il ne savait plus qui il était, où il était, il ne savait plus rien, sinon qu’un gourdin énorme et brûlant s’agitait dans son corps, et que chacun de ses coups, porté au tréfonds de lui-même, lui dispensait une jouissance indicible. Son anus, bientôt, s’affola autant que son cœur, se contracta, se dilata, se perdit en mouvements désordonnés. Il en irradiait une chaleur qui se répandait jusqu’aux extrémités de son corps, lui envoyait des décharges électriques dans le torse, dans les bras, dans les jambes. Sa tête allait éclater. À chaque fois que Jérôme cognait au fond de lui, Adrien poussait un cri sauvage. Jérôme accéléra l’allure, son sexe se gonfla et durcit encore. Soudain, avec un râle de fauve, il explosa. Adrien sentit un torrent de lave se ...
... ruer dans ses entrailles. Le plaisir l’envahit. Il hurla et se cabra en spasmes violents tandis que jaillissait de lui un flot puissant qui inonda son torse et son visage. Alors il se réveilla, emmêlé dans ses draps, trempé de sueur et de sperme. Il était seul. Il se redressa, se frotta les yeux. — Un rêve ! se dit-il, surpris et déçu. Non, c’est impossible ! Un tel réalisme ! Et, découvrant l’état dans lequel il se trouvait : — Je n’en reviens pas ! J’ai pourtant passé, et largement, l’âge des pollutions nocturnes ! Il se sentait cassé de partout, recru comme s’il avait vraiment subi cet assaut. Son anus douloureux se rappelait encore les allées et venues du membre énorme. Son sexe, rien qu’à leur évocation, tressaillit et fit mine de se redresser. Il le gourmanda : — Allons bon ! Ça ne t’a donc pas suffi, cette éjaculation géante qui a transformé le lit en marécage ? Allons plutôt prendre une douche, ça nous fera du bien ! En se lavant, il trouva beaucoup de sperme à l’intérieur de ses cuisses, sur son périnée, entre ses fesses, comme si quelqu’un avait vraiment joui en lui ; cela lui parut bien un peu étrange, mais il mit la chose sur le compte de sa grande excitation et de la violence de son orgasme. Peu après, Adrien sortait de la salle de bains, rafraîchi physiquement et mentalement, d’excellente humeur, les sens épanouis. Il changea les draps et, s’étirant voluptueusement, s’apprêtait à se coucher lorsqu’il découvrit, jeté à terre, le peignoir qu’il avait enfilé, ou cru ...