1. Plaisir et douleur : les deux faces d'une même pièce


    Datte: 07/12/2017, Catégories: f, fh, médical, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... heures plus tard, il était de retour dans sa chambre, une sonde entre les jambes, complètement groggy, encore sous l’effet de l’anesthésie. Le docteur arriva vers 17 heures. — Alors, comment vous sentez-vous ?— Heu… complètement vidé.— C’est normal. Ça ira mieux demain matin, après une bonne nuit de sommeil. Pour ce qui est de l’opération, tout s’est bien passé. Nous vous retirerons la sonde après demain matin et nous verrons quasiment tout de suite si nos efforts ont porté leurs fruits. D’ici là, bonne nuit, reposez-vous. Le docteur se tourna vers la porte et sortit. À peine la porte s’était-elle refermée que Marc sombra dans un profond sommeil. Le surlendemain, le docteur arriva très tôt pour ôter la sonde. Cela ne prit que quelques minutes et Marc se retrouva bientôt libre de ses mouvements. — Bien, vous avez une bouteille d’eau pleine. Il faut boire beaucoup car nous devons voir si tout fonctionne correctement. L’infirmière passera dans deux heures pour constater tout ça. D’ici là, vous pouvez prendre une douche, manger, et caetera. Si tout va bien, vous serez dehors pour ce midi.— Parfait. Merci encore docteur. Merci pour tout. Marc se leva direction la salle de bain, emportant sa bouteille d’eau pour boire son litre et demi dans la demi-heure. En se lavant, il eut une pensée pour Sandra, espérant vivement que ce soit elle qui soit de garde à ce moment-là. Il se rasa, s’habilla puis revint dans sa chambre pour lire et boire, boire, boire et boire encore. Au bout de ...
    ... deux heures, sa vessie était pleine. Il avait une furieuse envie d’uriner mais deux choses le retenait. La première était de savoir si oui ou non la douleur serait encore là. Qu’allait-il ressentir ? Il ne se souvenait même pas de ce que l’on ressent lorsqu’on fait pipi normalement. La deuxième était de savoir s’il pouvait le faire sans appeler l’infirmière. Il se décida alors à biper. Il entendit les pas dans le couloir se rapprocher de sa chambre. Des voix discutaient et Marc ne parvint pas à savoir s’il s’agissait de Sandra ou pas. La poignée s’abaissa et le visage de Marc s’illumina à la vue de la blouse blanche. L’entrée de Sandra était comme une délivrance, à tous points de vue, mais surtout parce qu’il allait enfin pouvoir se vider entièrement. — Bonjour ! lui lança-t-elle gaiement.— Bonjour.— Alors, vous vous sentez prêt ? On peut passer dans la salle de bain ? Je vais vous regarder uriner et si tout est ok, vous pourrez partir. Marc n’hésita pas une seconde. — Allons-y. Et finissons-en.— Hola… détendez-vous hein ! Je connais bien le docteur qui vous a opéré et c’est un bon, croyez-moi. Alors surtout, détendez-vous, tout ira bien. Une fois dans la salle de bain, il baissa son pantalon puis son boxer et se mit face aux toilettes. Il fallait y aller, il le savait. Il en avait envie et pourtant, tout le retenait. La peur de l’inconnu. Il se remémora alors les départs canon dont il était capable à ski et décida de franchir ses craintes. Sandra attendait patiemment à côté de ...
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