Mystérieuse Nathalie
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
fh,
revede,
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
... déjà en m’expliquant tous ces mensonges, car je pense que Nathalie et vous êtes très intimes. De plus, quelqu’un a dû me droguer hier pour saccager ainsi mon chez-moi. Zoé ne dit rien, ses silences me semblaient interminables. Au bout d’un moment, ma tête devint lourde, très lourde. L’envie de dormir m’envahit. Je tentai de garder mes yeux ouverts, mais mes paupières se fermaient continuellement. " Elle m’a fait boire une saloperie ", fut ma dernière pensée avant de plonger. Le trou noir. C’était doux et chaud, humide aussi. Je frissonnais de plaisir. Avoir envie de rester ainsi à jamais dans cette phase de demi-sommeil était plaisant. Je me sentais si bien dans ce cocon. Une délicieuse chaleur au bas des reins et l’abandon total au bonheur me faisait sourire dans mon sommeil. L’intensité de la succion me réveilla. Couché, nu, jambes écartées, je me faisais sucer. Une femme agenouillée me procurait ce divin plaisir. Ma verge se faisait engloutir dans la bouche si accueillante. — Nathalie, c’est toi ? hurlais-je. Oh, tu es merveilleuse ! Le lit à baldaquins, les soyeux oreillers, la femme avec moi, tout cela me rendait fou de désir. Oubliées mes craintes, mes angoisses, la vielle dame, enfin j’étais avec celle que je désirais depuis si longtemps. — Enfin tu es réveillé mon beau, dit ma bien aimée en se relevant et en se passant la langue sur les lèvres. Nathalie vint vers moi, elle se blottit contre mon torse. Je la pris dans mes bras, nous roulâmes dans les draps en nous ...
... embrassant passionnément. Je goûtai à la saveur de sa bouche, mes mains explorèrent chaque parcelle de son corps. Je caressai cette femme avec une infinie tendresse. Ma bouche explora son ventre chaud, l’orchidée luisante reçut ma langue et mes lèvres. Je buvais son nectar d’amour, alors que ma belle se pâmait de bonheur comme la chatte qu’elle était. Ensuite, ma bouche continua sa progression le long de ses cuisses fuselées, ma langue chatouilla les petits pieds pour remonter le long des jambes. Mes doigts couraient sur les hanches fines, remontaient entre le sillon des fesses, ils taquinaient le doux pertuis qui s’offrait déjà. Ma hampe gorgée de désir cognait contre les cuisses de Nathalie. Ses doigts fins s’enroulèrent autour du tronc, ils me masturbaient délicatement. Nos gémissements emplissaient la chambre. Nous nous imbriquâmes pour ne former qu’un. Au-dessus de ma Déesse, entre ses cuisses, j’allais et venais par de longs coups de boutoir. J’avais envie de la pénétrer encore et encore, de plus en plus profondément. J’embrassais sa mignonne poitrine aux formes délicatement rondes, j’en titillais les bouts dressés. Mes lèvres lapèrent ensuite les gouttes de sueur qui perlaient sur le visage de Nathalie. — Ouiiiiiiiiii, mon Beau, plus vite, défonce-moi, hurla Nathalie. J’accélérai davantage ma cadence, j’allai moi aussi partir avec elle dans les secondes qui allaient suivre. Elle hurla à nouveau, gagnée par l’orgasme dévastateur. Un ouragan de joie nous submergea. Je vis ...