Mystérieuse Nathalie
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
fh,
revede,
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
... petit en moi. Je me traînais lamentablement vers la salle de bain, une bonne douche me ferait du bien en pleine nuit. Des griffures zébraient mon torse et mes joues, mes yeux étaient injectés de sang. Des contusions aux bras et aux cuisses complétaient cet affreux spectacle. L’eau chaude apaisait mes courbatures. Mon sexe me brûlait, mais je ne détectais aucune séquelle heureusement. Quelques plumes voltigeaient encore dans la chambre. J’essayais de comprendre. Etais-je en train de devenir somnambule ? Ou alors la folie me guettait ? En pensant à tout cela, je rangeai tant bien que mal le capharnaüm ambiant. Je me sentais soudain très seul dans cette petite ville de province, sans ami, ni connaissances intimes. J’avais bien quelques liens privilégiés avec ma secrétaire, mais il était hors de question de l’impliquer dans mon délire. Je décidais sur le champ que dans la matinée, j’irai voir Zoé Rice, la vieille Dame, pour éclaircir ces points. Au matin j’appelai mon assistante pour lui annoncer que je prenais ma journée. Ensuite je gravis les escaliers jusqu’au second étage pour rencontrer la vieille dame. Devant le pas de sa porte, la fébrilité m’envahit, j’hésitais à franchir le cap. « Il en va de ta santé mentale, alors fonce ! », me dis-je. Sans que j’appuie sur la sonnette, la porte s’ouvrit toute seule, bizarre… — Entrez jeune homme, me héla Madame Rice. Je pénétrai dans l’appartement. — Je suis au salon, venez me rejoindre. Au son de la voix, je me dirigeai vers la ...
... pièce. L’appartement était meublé dans le style 1900, années folles. Des tapis à profusion décoraient le parquet qui grinçait sous mes pas. Une multitude de lampes en pâte de verre étaient allumées dans le long couloir que je suivais. Tableaux et bibelots décoraient l’ensemble. Enfin, je découvris la grand-mère. Assise à une table ronde, la propriétaire des lieux buvait un thé en dégustant de petits biscuits. De grosses bagues ornaient ses doigts. Elle avait le regard vif derrière ses petites lunettes. Ses cheveux blancs étaient retenus en chignon, elle portait un horrible tailleur rose bonbon. — Asseyez-vous, s’il vous plaît, je pense que vous êtres venu pour me questionner, alors mettez-vous à l’aise et prenez un café si vous le souhaitez. Je m’exécutai en dénichant la deuxième carafe, et me servis une bonne rasade de caféine. La vieille dame m’observait. Je lui trouvais un visage beaucoup plus dur, moins sympa que lors de notre dernière conversation. La gentille grand-maman s’était muée en femme d’affaires, je le sentais. — Alors jeune homme je vous écoute, croassa-t-elle.— Je suis venu vous voir au sujet de ma voisine, Mademoiselle Dubois. En fait, j’ai la nette impression de me faire manipuler, car d’une part elle ne travaille pas dans un cabinet d’avocats. Mais Ô surprise dans ledit cabinet, c’est vous qui êtes la patronne. Bref, mon appartement a aussi été mis sans dessus dessous la nuit dernière, un vrai carnage.— Pas si vite, mon petit, en quoi puis-je vous aider ?— Mais ...