Mystérieuse Nathalie
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
fh,
revede,
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
... excité avec le zest d’angoisse qui vous tenaille gentiment au creux des reins. Je conduisais ma berline tranquillement, ne voulant pas déchirer ces instants magiques aux côtés de Nathalie. Ses jambes interminables attiraient invariablement mon regard. Je savais qu’elle m’observait également en collant ses yeux verts sur ma personne, je sentis la délicieuse brûlure de son regard de braise parcourir mon corps. Nous discutâmes de tout et de rien, comme deux vieilles connaissances. Son parfum vanillé emplissait le cockpit que la climatisation rafraîchissait. Arrêté à un feu, je me tournai vers ma voisine. Celle-ci s’était lovée contre le dossier de son siège, elle me sondait littéralement des yeux. Sa chevelure brune se trouvait à quelques centimètres de mes épaules. Nathalie avait croisé ses jambes, elle semblait pencher vers moi, très doucement, irrémédiablement. Un coup de klaxon m’avertit que le feu était passé au vert, je repris mes esprits et démarrai. Je n’osai pas aborder l’épisode du petit mot laissé de sa part. Pourtant, j’avais envie de me lancer. — Balou ? Je me raclai la gorge : « Euh oui », répondis-je. — C’est vraiment sympa de me conduire à mon bureau et d’avoir fait un crochet pour me déposer, me susurra Nathalie.— Oh vous savez, ce n’est rien, j’avais posé ma matinée et c’est un plaisir de vous rendre service.— Alors vous jouez au voyeur, à vos heures perdues ?— Hein, quoi ? Éructai-je. Je rougis, enfin la glace se brisait. Ma conduite laissait à désirer, ...
... j’essayai de reprendre mon self-contrôle. — Hummm, si je joue au voyeur, je pense que vous n’y êtes pas étrangère, je me trompe ?— Mais mon cher Balou, je ne vous ai jamais encouragé à vous masturber sur votre balcon en pensant à moi, répondit Nathalie d’une voix si suave qu’un violent désir m’enveloppa dans l’instant. Elle se pencha vers moi, puis sa langue jaillit de sa bouche pour laper mon oreille. Elle était chaude, douce et pleine de vigueur à la fois. Je gémis d’aise sous cette caresse. — Je sais que vous aimez, je sens votre envie de moi, votre sexe devient douloureusement à l’étroit dans votre pantalon. Ensuite, elle me mordilla le lobe doucement, elle le suçota et le lécha. Je sentais son souffle chaud dans mon cou. — Nous arrivons Balou, vous pouvez me déposer là, c’est juste en face. D’un coup de vent, elle sauta de la voiture sans m’accorder un regard et elle s’engouffra dans l’immeuble. Je restai quelques minutes sans bouger, assis au volant. Avais-je rêvé ? Devrais-je venir rechercher Nathalie ce soir ? Je m’avançai vers le hall d’entrée pour aviser l’hôtesse d’accueil. — Puis-je parler à Mademoiselle Dubois, s’il vous plait ? La standardiste me dévisagea du regard, je devais avoir l’air halluciné. — Nous n’avons pas d’employée de ce nom, Monsieur, je suis désolée.— Mais, elle vient de rentrer chez vous il y a quelques instants— Je vous dis que nous n’avons pas de Dubois dans notre maison, me rétorqua l’hôtesse excédée.— Une jeune femme brune, cheveux mi-longs, elle ...