1. Mystérieuse Nathalie


    Datte: 11/12/2017, Catégories: fh, revede, Oral pénétratio, fantastiqu,

    ... a dû passer devant vous ce n’est pas possible !— Je vous prie de sortir, Monsieur ! Je laissai le cerbère, et m’avançai vers la sortie, lorsque mon regard fut attiré par un poster accroché au mur. Par curiosité, j’y jetai un coup d’œil. Damned ! Parmi les membres de la direction, je reconnus ma petite grand-mère avec qui j’avais fait la causette dimanche matin. Que venait faire la vieille dame ici ? Je retournai au bureau d’accueil pour m’enquérir de cela. — Encore vous ?— Euh oui, savez-vous qui est la dame âgée sur la photo là-bas ? La jeune femme me regarda bizarrement. — C’est Madame Zoé Rice notre présidente fondatrice du cabinet, Monsieur. En quoi cela vous intéresse-t-il ? Dois-je vous annoncer ?— Hein ? Non, non, merci, je m’en vais. Tel un automate, je quittai le cabinet d’avocats et filai vers ma voiture. En route, je scrutai des yeux les rues pour tenter de trouver Nathalie. Peine perdue, au bout d’une heure je décidai de rentrer chez moi. J’étais allongé sur une estrade, Nathalie me chevauchait. Elle me faisait l’amour. Avec les mains posées sur mon torse velu, elle me maintenait avec force, une vigueur que je ne lui connaissais pas. Ses ongles me griffaient. Je voyais ses yeux verts qui brillaient de mille feux. J’étais en elle, je sentais ses muscles intimes qui me pompaient. Son bassin bougeait très doucement. Autour de nous, d’étranges personnages encapuchonnés nous entouraient. Je ne distinguais aucun visage, tous portaient des torches et murmuraient « pour ...
    ... l’amour de notre Reine, pour l’amour de notre Reine, pour l’amour de notre Reine, pour l’amour de notre Reine, pour l’amour de notre Reine…. », de manière lancinante. Angoisse, terreur, excitation, se mêlaient. Je n’osais bouger, mais je savourais tout de même les ondes de bonheur que me procurait Nathalie. Derrière elle, une énorme statue nous regardait. Une chatte de pierre semblait veiller sur nos ébats et sur l’assemblée. J’avais la nette impression que les yeux de la statue me fixaient intensément. La sueur coulait sur mes joues. Nathalie quant à elle commençait à lâcher d’étranges sifflements, je voyais la prunelle de ses yeux se dilater progressivement. Soudain les capuches se rapprochèrent. Des mains se posèrent sur mes épaules et sur mes jambes, sans pour autant gêner Nathalie dans ses mouvements. Je compris que les capuches me maintenaient solidement couché, j’étais à la merci de ces gens. — Aie confiance, dit une voix féminine dans l’obscurité Les yeux exorbités, je vis la statue bouger, sa gueule s’ouvrait au même moment où Nathalie se penchait vers mon visage pour m’embrasser à pleine bouche. Sa langue me viola le palais, ses lèvres me mordirent, nos dents s’entrechoquèrent, je suffoquais, j’étais à bout de souffle. Je me réveillais en nage, le bas-ventre poisseux. Mon lit était un véritable chantier. Oreillers percés, draps déchirés, lampe de chevet renversée, le lit avait bougé pendant la nuit. La terreur avait remplacé l’incrédulité, elle s’insinuait petit à ...
«12...789...16»