Mes aventures sur « Paris - Dakar »
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
grossexe,
plage,
bain,
voyage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
journal,
roadmovie,
... anodine. L’autre était plus obscure, mais pas la moins puissante. Mon sentiment pour le colosse était de nature instinctive, irraisonnée. La ressemblance avec mon oncle y était sans doute pour quelque chose. Les similitudes n’étaient pas seulement physiques, nombre de traits de caractère étaient également semblables. Dans le véhicule, j’abusais sans vergogne du confort de son embonpoint parce que je me sentais en confiance. Il aurait pu profiter de la promiscuité mieux que le Noir, lequel du reste ne s’en priva point, mais lui n’en fit rien. J’en conçus du respect et du dépit aussi, imaginant un moment lui être indifférente. Le chapiteau me détrompa. Je n’osai vérifier, mais la cause n’était pas douteuse malgré le vêtement ample. Dès lors, je fus vigilante. La manifestation se reproduisit plusieurs fois et durait assez chaque fois. Ça, c’était tout moi. Cette manière de faire une fixation sur une manifestation qui me flattait. Je crois avoir dit que je n’étais pas fute-fute. Je le répète et le réécrirai encore s’il le faut. Je n’étais qu’une fille simple, un peu niaise, un peu naïve avec un côté fleur bleue. Je ne sais pourquoi je conjugue à l’imparfait, car de ce point de vue, je n’ai pas changé. Maintenant comme il y a quelques années, je suis toujours un peu niaise. Comme la plupart des filles, j’espère le grand Amour avec un grand A. Je suis convaincue que je saurai reconnaître l’élu quand je tomberai dessus. Certes le Maure n’avait pas le profil, pas plus que le Noir ...
... d’ailleurs, mais ceux-là rentraient dans une autre case, car entre-temps, rien n’interdit d’alterner un plan cul, quand les hormones démangent. Ce soir-là, au banc d’Arguin, je ne sais ce qui me prit. J’avais le feu au cul. Le climat peut-être, l’atmosphère électrique sans doute ou bien les senteurs iodées et aphrodisiaques. Je ne sais ! Mais je dois avouer que je n’étais pas autant rétive que je voulais le laisser croire. Probable que le démon réactivait ce besoin que j’avais de m’avilir. De fait, le désir latent que j’avais d’être une pute renaissait plus puissant, plus pressant au regard de l’opportunité. Bonjour la dépravation. Les deux hommes m’immobilisaient, mais ne l’auraient-ils pas fait que je n’aurais probablement pas plus tenté de fuir. Je me saisis machinalement du tromblon d’Ahmed dont je mâchouillai le gland tout en postant mes radars et tous mes sens à l’affût des entreprises du Maure. — Relax, je te fais juste une léchouille, t’aimes pas ça ? roucoulait-il doucement pour m’amadouer sans voir que j’étais docile tandis qu’il prenait place pour fourailler dans ma fente. Je me rebiffai mollement, histoire de le bluffer encore un peu pendant qu’il m’ouvrait les cuisses. Sa langue se fit démoniaque. Quand ma résistance symbolique ne fit plus illusion, le colosse prit ses aises, bascula sur le dos, glissa la tête entre mes cuisses. À l’invite, j’aplatis mon bassin à la manière d’une grenouille et encastrai mon sexe sur son nez. Le bonhomme ne fit ni une ni deux, il ...