1. Mes aventures sur « Paris - Dakar »


    Datte: 11/12/2017, Catégories: fh, fhh, grossexe, plage, bain, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, roadmovie,

    ... saisit d’emblée mon clito qu’il emprisonna entre ses lèvres et aspira comme s’il eût voulu l’arracher. Je sentis mon sang affluer vers la turgescence enflammée, qui me sembla gonfler et gonfler encore. J’avais l’impression que mon appendice prenait une ampleur extraordinaire dans la bouche du satyre. La sensibilité du clito était singulièrement exacerbée à la mesure de son volume. L’homme le mordillait parfois, produisant des décharges qui se répandaient alentour et parcouraient ma colonne vertébrale, livrant un peu partout dans mon corps une série d’ondes jouissives. Je n’en montrai que plus d’ardeur à besogner le phallus de mon amant en titre tout en malaxant ses bourses. Quand le colosse en eut marre du clito, il entreprit d’explorer mon vagin, utilisant alternativement sa langue ou ses doigts. Il en massait les parois aussi loin qu’il pouvait, entretenant la tension vertigineuse qui me donnait l’impression de plonger vers quelques nirvanas inatteignables. Quant à ma pauvre turgescence délaissée, je la gâtai à ma manière, l’astiquant sur l’arête du nez du Maure à la moindre occasion. Je frottai et refrottai, aussi longtemps que je pouvais, allant et venant telle une folle pressée de trouver son plaisir. À un moment donné, Abdallah en eut assez de mon manège, il pinça le clito entre ses dents et l’étira sans égard pour mes hurlements. La douleur fulgurait, insupportable et en même temps délicieuse. Je ne fis rien qui pouvait adoucir mon supplice. Au contraire. Je lui en ...
    ... aurais voulu à mort s’il avait lâché. L’orgasme survint à l’improviste. Il me terrassa sur place. J’abandonnai la lutte et m’appesantis sur la face de mon tortionnaire, sexe grand ouvert, giclant la cyprine autant que l’urine. Je hurlais toujours. Il grogna. — Ben ma salope, tu me pisses dessus, ronchonna-t-il avec malice, interprétant cette manifestation intempestive et visiblement heureux de me tenir à sa merci. De son côté, le Noir apprécia moindrement, non pas que je l’aie mouillé le moins du monde, mais parce que mon relâchement avait des répercussions collatérales dommageables. — Aïe, tu me fais mal, gueula-t-il deux ou trois fois avant que je ne réalise que je serrais les mâchoires autant que la poigne. Pauvre queue ! Pauvres testicules ! Ahmed ne m’en tint pas rigueur, recommandant toutefois de ménager ma vigueur autant que l’équipement. Il pouvait bien parler, tout ça me passait par-dessus la tête. Et à tout prendre, vu ma position, ce n’était pas qu’une façon de parler. Quoi qu’il en soit, j’étais totalement liquéfiée, il me fallait du solide. Le colosse le pressentit-il ? Sans doute, parce qu’il prit ses dispositions. Son gland frappa à l’entrée de ma fente. — Hé ! Tu mets un préservatif, ai-je malgré tout conscience d’avoir réclamé.— J’en ai pas, railla-t-il en donnant un coup de reins magistral qui me projeta contre le Noir dont la verge pénétra ma gorge jusqu’à m’écraser la glotte tandis que le bazooka du Maure m’emplissait le ventre de belle manière. Bazooka ! Je ...