1. Lutte des classes


    Datte: 12/12/2017, Catégories: fh, amour, nonéro,

    ... sortir malgré ses protestations. Il est obligé de la soutenir, la porter presque. Elle continue à pleurer. — Patrick, pourquoi m’as tu abandonnée. J’ai besoin de toi, de quelqu’un avec moi. Je ne peux pas rester seule, j’ai peur. » Arrivé dans l’appartement, il la conduit dans la chambre et l’allonge dans le lit. Elle s’accroche à son cou, ne veut pas le lâcher. — Fais-moi encore une fois l’amour Patrick. Aujourd’hui, je te laisserai faire tout ce que tu veux, je t’en prie baise-moi. Julien est à la fois bouleversé et tenté par cette femme qui s’accroche à lui. Mais ce n’est pas à lui qu’elle pense, il n’est rien pour elle. Il se libère. Elle se dresse, arrache ses vêtements et supplie : — Reste avec moi, je t’en supplie, sinon je me tue. Julien s’approche pour la coucher, elle s’accroche, cherche à le déshabiller en le suppliant. Ne voulant pas la laisser seule, mais aussi tenté par ce corps nu, il se déshabille et s’allonge à côté d’elle. Il caresse le visage, les lèvres. Elle desserre les dents, en attente. Il ose l’embrasser, fouille de sa langue sans qu’elle réponde. Face à cette passivité, il descend vers les petits mamelons et en excite la pointe longuement. Elle reste inerte. Sans se lasser, il poursuit son travail, mordille les pointes, les tire. Gémissements, de douleur sans doute. Il s’arrête. Elle appuie la tête contre le sein. Il reprend sa torture. La plainte a changé de ton. Sa main attaque l’autre bourgeon, le pinçant, et ce nouveau supplice augmente ...
    ... l’intensité du soupir. Laissant ses mains opérer sur la poitrine, sa bouche descend vers le buisson. Les cuisses restent serrées. Pourtant des tressaillements accompagnent la plainte. Le menton, rugueux de barbe, frotte le haut de la fente. Les cuisses s’écartent un peu. Julien en profite pour attaquer de la langue, rechercher un bourgeon qu’il ne trouve pas. Longue traque dans tous les recoins et finalement la perle rare est dénichée. Elle roule sous l’action de la langue. Le gémissement s’amplifie devient un son continu. Longtemps il fouille toute la fourche, revenant souvent vers ce bouton qu’il vient de découvrir. Et quelques traces d’humidité apparaissent. La tête d’Anne ballote d’un côté à l’autre, ses mains appuient sur sa tête afin qu’il poursuive. Les jambes sont largement écartées. Julien remonte le long du corps et vient à nouveau proposer le baiser. Son sexe vient s’appuyer sur la fourche et continuer le frottement amorcé avec la bouche. Bientôt la langue de sa partenaire vient à la rencontre de la sienne. Il prend le corps entre ses bras et bascule. Elle se retrouve au-dessus de lui, ce sexe toujours contre sa fente. Maintenant c’est elle qui s’agite pour prolonger le plaisir du frottement. Elle arrête son mouvement, prend en main le pal, le met en place et se laisse descendre lentement, bientôt pubis contre pubis. Un instant immobile, elle entreprend de remonter, descendre son bassin, se baisant elle-même. Et bientôt ce sont des mouvements désordonnés, puis la ...
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