1. Xanths (2)


    Datte: 13/12/2017, Catégories: Trash,

    ... bien malgré moi la bouche, espérant happer un mince filet d’air : il en profita pour vider son contenu dans la gorge, et me relâcha. Tombée par terre, je pus enfin respirer un grand coup, manquant de m’étouffer. Le goût de ce qu’il m’avait fait boire était proche de celui d’une eau quelconque, mais quelque chose clochait. Il se pencha sur moi et glissa lentement sa main sous ma mâchoire, levant mes yeux vers lui. Aujourd’hui, je peux vous affirmer qu’il avait toujours la même gueule horrible, mais à l’époque, quelque chose en moi avait changé. — Écoute-moi bien. Je vais te baiser, et gicler dans ton ventre. Ensuite, tu te regarderas gonfler, jusqu’à exploser dans d’atroces souffrances. Ce sera ma vengeance. On est d’accord ? En fait, il était devenu magnifique. Je me mis instantanément à le désirer, sentant un mince filet de mouille perler de ma vulve. Je tendis une main vers ses abdominaux : sa musculature saillante me laissa presque sans voix. Instinctivement, je retirai mes « vêtements », m’exposant nue à sa vue. Il afficha un grand sourire, exposant deux rangées de dents acérées. Automate, je me mis à quatre pattes : — Tout ce que vous voulez. Pour vous, je ferai n’importe quoi. Il se mit à rire, d’un rire lourd et gras. Il balança son pagne devant mes yeux, ce qui me fit me cambrer. L’humanoïde attrapa mes deux fesses et les écarta violemment. Il plaça son gland sur mon intimité : il était énorme, sûrement du même calibre que celui de Zvolk, c’est-à-dire bien plus que ...
    ... ce que j’avais jamais eu l’habitude de recevoir. Pourtant, il entra en dans mon ventre comme dans du beurre : j’étais trempée, prête à le recevoir et à me faire engrosser. J’écartai plus largement les cuisses : la roche sous mes genoux me faisait mal, je saignais ; mais prenait tellement de plaisir. Je sentis ses couilles frapper mes lèvres : il était entré jusqu’à la garde. Alors il se mit à me besogner, violement, comme un mufle : mes seins ballotaient, je hurlais de bonheur. Ces coups de butoirs étaient si puissants qu’ils estompèrent ma douleur : le plaisir me ravagea, détruisant mon cerveau au rythme des coups de reins qu’il me procurait. J’appris plus tard que c’était un ogre, donc en moyenne 2m10 pour 150 kilos de muscles et de poils, j’en faisais 60 à tout casser, et me faisais défoncer la vulve en hurlant de bonheur : son sexe semblait repousser mon col à chaque assaut, m’élargissant toujours plus. Moi j’essayais de contracter mon vagin : le plaisir en était décuplé. Il m’attrapa par les cheveux, me faisant cambrer plus encore, et j’eus un orgasme. A côté, la petite plante n’était rien : le plaisir me dévora par vagues, à tel point que je me mis à convulser. Mes yeux roulaient dans mes orbites : — Encore ! criais-je. S’il vous plait… Ah ! Encore…. Pitié ! — Ne t’inquiète pas, ça vient ma belle… Il m’attrapa par les hanches et m’infligea un dernier coup de reins, surpuissant, restant bien ancrée dans mon intimité : il allait venir en moi, et j’étais prête à recevoir sa ...