Réconfort & vieilles dentelles VI. Les escarpins rouges (3)
Datte: 16/12/2017,
Catégories:
Hétéro
... minauda un peu en se rapprochant encore : « - Songez, cher Monsieur, que nous aurions ainsi l’occasion de nous revoir... » et elle me gratifia d’un délicieux sourire. Cette fois je posai mes mains des deux côtés de sa taille et l’attirai tout contre moi. Je sentis que son souffle était court. Je me rendais compte que j’étais peut-être en train de me faire avoir, mais je me disais qu’enfin, j’allais certainement pouvoir la mettre dans mon lit. Ça serait cher payé mais comme je crevais d’envie d’elle... ! Doucement, lentement, je posai ma bouche sur sa petite bouche, qui finit par s’ouvrir et laissa le passage à ma langue. Elle s’offrit et passa ses bras fins autour de mon cou. Je sentais sous mes mains combien sa taille était fine. Je la galochai longuement. Sa bouche avait comme un goût de fraise. Ma bouche finit par se détacher de la sienne et je la fis glisser dans son cou ; je la sentis glousser légèrement et se pâmer contre moi. Je sentais à peine sa poitrine menue contre mon torse. Son cou avait un goût de parfum très fort et amer sous ma langue (c’est vrai qu’ils ne se sont pas faites pour être léchées ces eaux de toilette de luxe.) Ma main gauche emprisonna sa nuque frêle, je repris sa bouche : elle m’embrassa fougueusement. « - Vous êtes si jolie, j’ai tellement envie de vous... » lui murmurai-je sensuellement à l’oreille avec sincérité. « - Ça ne serait pas bien... » minauda-t-elle. « - Vous m’avez plu dès la première fois que je vous ai vue, votre physique, vos ...
... manières gracieuses, votre élégance, votre sensualité... — Oh... » me coupa-t-elle d’un air gêné. Mais à quoi jouait-elle, cette petite chatte ? Je sentais qu’elle se raidissait. Je me rendais compte qu’elle n’avait pas envie de passer à la casserole, quelque chose la retenait. Elle se crispait, elle était anxieuse, comme si elle avait peur de quelque chose. Moi j’avais une gaule d’enfer. J’embrassai sa bouche, je pris sa lèvre inférieure entre mes lèvres ; ma bouche glissa sur son menton, son cou, sa gorge, lui faisant ployer sa tête en arrière. Mon visage descendit encore, et je le pressai contre son chemisier entre des seins moelleux mais menus. Je me laissai glisser lentement à genoux, mon nez contre son ventre ferme, en humant, respirant son odeur. Je pris ses hanches entre mes mains, mon nez descendit sur son pubis. Elle me laissait faire, ses mains s’étaient posées sur mes épaules, toute en retenue. Elle tenta de m’empêcher quand j’entrepris de déboutonner son pantalon de similicuir mais je me saisis de ses mains qui comptaient m’arrêter et les couvris de baiser. Elles me parurent si fines, si douces, si délicates avec ses gros bijoux en or à ses doigts. Mais c’est un autre bijou que je convoitais. Elle me laissa faire finalement : j’arrivai à ouvrir son satané pantalon, tombai sur une culotte très fine de satin rose ourlée de dentelles, et pour aller plus vite j’écartai la culotte pour plonger ma langue dans sa fente. J’avais réussi à baisser légèrement son pantalon mais ...