1. Réconfort & vieilles dentelles VI. Les escarpins rouges (3)


    Datte: 16/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... pas assez pour que ses cuisses s’ouvrent autant que je le voulais : je pouvais faire aller et venir ma langue en pointe entre ses jolies lèvres fines, mais j’étais frustré de ne pas pouvoir coller ma bouche à cette chatte que je désirais tant, que j’avais envie de dévorer. Ça m’énervait, elle allait croire que j’étais un mauvais lécheur alors que comme bouffeur de chattes je suis le meilleur ! Néanmoins, elle soupirait de plus en plus fort ; elle se mit à gémir, m’encourageant avec des petites plaintes timides mais sincères. Je réussis finalement à plonger ma langue dans sa grotte, le plus profondément possible, à lui lutiner le bouton, et elle poussa des petits cris retenus mais d’une voix que je ne lui connaissais pas : elle jouissait la petite biche ! J’entendais bien pousser mon avantage et je me relevai, décidé à l’entraîner dans ma chambre, mais déjà, reprenant ses esprits, elle se rajustait, remettant sa culotte en place, refermant son pantalon. Elle s’excusa presque : « - Mr D, je ne peux pas rester plus longtemps. J’ai un rendez-vous dans un quart d’heure et il n’y a personne au bureau. — OK » dis-je, dissimulant mal ma déception. « - Il faut que j’y aille, désolée. — Je comprends, Madame S. Je vous raccompagne. » Après ce que je venais de lui faire, ma politesse semblait presque surréaliste. Éprouvait-elle un remords, se disait-elle qu’elle était allée trop loin ? Allait-elle laisser tomber le dossier et faire comme si j’avais ...
    ... refusé tout bonnement son devis ? C’est ce que j’étais en train de me demander au moment où elle se retourna tandis que j’avais déjà ouvert la porte d’entrée, et qu’elle me murmura avec les yeux d’une femme amoureuse : « - Je n’ai pas le temps... aujourd’hui. Nous reprendrons rendez-vous... Et je reviendrai... Et soyez sûr, je vous... consacrerai le temps... que nous aurons besoin. — Mais avec plaisir, Madame S., ma jolie petite Madame S. » mon visage s’était de nouveau éclairé. Elle eut un regard vers la table, vers son devis : « - Et le devis, vous ne l’avez pas signé... ? — Mais quand vous reviendrez, Madame S, rien ne presse. » Elle eut un regard étrange, hésita un moment. Moi je n’hésitai pas et lui dis à brûle-pourpoint : « - Je vous signerai le devis quand vous serez à moi. » Elle posa sa main sur ma poitrine, me regarda tendrement, sensuellement, et repoussant un peu la porte pour qu’on ne nous voit pas de la rue, elle m’offrit sa bouche que je ne refusai pas, et je la gratifiai d’une pelle monumentale. « - Tu vas connaître le goût de ta chatte, ma petite salope » pensai-je tout en la galochant passionnément. Le baiser dura à peine trois secondes. Elle lâcha ma bouche, ouvrit la porte et s’en fut, très raide, descendit les huit marches de mon perron en trottinant, et sans même se retourner, sans même me dire au revoir, elle disparut dans la rue. Était-elle troublée ou contrariée, je me demandai longtemps après qu’elle fut partie. 
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