Mon enfer (4)
Datte: 16/12/2017,
Catégories:
Divers,
... rattrape à moi, se retenant au passage au peignoir que je porte pour seuls vêtements. Le nœud sommaire que j’ai serré sur le devant s’ouvre et mon corps apparaît à Francine, plus nu que le sien. — Wouah ! T’es trop belle, Claude, et t’es une vraie brune… Sous les effets pervers de la boisson, elle tend son index en direction de mon buisson sombre et complètement désinhibée, elle le pose littéralement sur ma touffe. — Eh ! C’est bien taillé ça… regard… moi… c’est une vraie forêt vierge… wbowzzsp Et elle joint le geste à la parole. D’un seul coup, sans autre forme de procès, elle baisse sa culotte. Elle a des poils jusqu’à l’élastique de son slip et d’une longueur… épouvantable. — Je… j’aimerais que tu me les tailles comme les tiens, ça le ferait peut-être revenir ce saligaud ! Oh dit ! Je prends ma douche et tu t’occupes de moi ? Ça fait si longtemps que personne ne s’occupe plus de mon corps… — C’est bon, c’est bon prends ta douche ensuite on avisera… — Merci ! Merci… tu es une amie, une vraie. Tiens… tu pourrais aussi me détacher mon soustingue ? J’ai les bras trop courts ce soir… Elle rit, elle pleure, le tout se mélange. Bonne poire, j’ouvre la fixation du soutif et ses deux obus jaillissent sur sa poitrine, libérés de leur prison de dentelle ! Ils sont d’une telle beauté que j’en serais presque jalouse. Et ma collègue, sans aucune pudeur qui les malaxe, les étire, les flatte de la main. Elle est toujours sous l’influence des Cognacs ingurgités, c’est certain. Elle ne ...
... marche pas très droit pour faire les quatre pas qui la mènent sous le jet d’eau que j’ai quitté pour lui ouvrir ma porte. Mais c’est bizarre comme j’ai un creux au ventre, rien que d’avoir vu les gestes équivoques de Francine. Elle a réchauffé mon envie. Moi aussi, j’aimerais avoir… un mec dans mes draps tout à l’heure ! — oooOOooo — Je suis sortie dès qu’elle est entrée sous l’eau. Je reste cependant attentive à tous les bruits qui me parviennent de ma salle de bain. Je ne voudrais pas la ramasser à la petite cuillère, elle est déjà suffisamment abimée par son mari. C’est vrai qu’il mériterait des beignes celui-là. Puis le chant de l’eau se tait et après un temps très long, je vois réapparaitre une autre Francine. Ses cheveux entourés d’une sorte de turban fait d’une serviette nouée sur l’arrière, enveloppée dans un drap de plage en éponge, qui lui couvre le corps de la tête aux pieds, elle semble plus… fraiche. Elle reste abattue tout de même, marchant la tête basse. — Je dois te paraître bien godiche… mais je l’ai dans la peau ce type. Et cette saloperie a du mal de passer. Je ne sais vraiment pas ce que je vais faire demain… — Dormons et demain sera un autre jour… Prends ton temps, pour réfléchir… — Tu… ne veux pas ? J’aimerais vraiment que… — Oui si tu as besoin de quoi que ce soit, alors demande… — Tu pourrais… me faire belle, belle comme toi ? — Comme moi, comment ça comme moi ? — Oui… bien que bourrée, j’ai bien aperçu ta touffe… je ne saurai jamais me faire cela… tu ne ...