Mon enfer (4)
Datte: 16/12/2017,
Catégories:
Divers,
... voudrais pas… — Ce n’est pas que je ne veuille pas… mais c’est bougrement… gênant ! — Je comprends… mais tu es mon amie et qui ira le raconter ? Hein ? — Bon allez, c’est bien parce que tu es dans la mouise… couche-toi sur le canapé, allonge – toi, je vais chercher ce qu’il faut. — Tu es super… j’ai de la chance d’être ton amie. Je hausse les épaules et je me dirige vers l’armoire de toilette de la salle d’eau. Ciseaux, gel à raser et rasoirs jetables, plus une serviette et un gant de toilette préalablement imprégné d’eau tiède dans une petite bassine, me voilà parée pour… merde ce n’est pas possible que j’ai dit oui… et pourtant ! À mon retour, Francine a calé sa tête conte un coussin et le bas de son corps est dénudé jusqu’aux hanches. La forêt vierge est bien apparente, et les deux jolies jambes éloignées l’une de l’autre en facilitent l’accès. Je regarde ce spectacle fascinant pendant quelques secondes, hésitant encore à… et puis, après tout c’est elle qui est demandeuse, alors… Armée des ciseaux, je défriche dans les grandes lignes ce nid de poils. D’abord, ça tombe comme à Gravelotte et puis plus je descends, plus je découvre sa fente. Ensuite ma main passe le gant humecté d’eau sur ce triangle déjà moins conséquent. La phase suivante s’avère plus délicate. Du bout des doigts, j’étale doucement en prenant soin de ne pas écarter les deux lèvres, deux ou trois noisettes de gel de rasage. Je frictionne en tournant sur toute la surface velue. Et la lame de mon rasoir ...
... commence à se frayer un chemin dans cette jungle luxuriante. D’abord, je trace une ligne à quelques centimètres de la naissance des lèvres. Le passage du rasoir laisse la peau lisse et sans trace blanche. Je rince fréquemment mon coupe-coupe dans la cuvette d’eau et lentement je glisse sur le côté de ce sexe visité. Après dix minutes d’efforts, les contours bien nets de la moule de Francine sont bien visibles et la toison a repris un air de femme entretenue. Je passe à nouveau ma paume bien à plat sur ce parterre joyeux. Quelques retouches ici ou là et je repars plus bas, vers le début de la raie des fesses. Mon amie se laisse faire, mais elle gémit doucement et ses soupirs sont de plus en plus longs. Ce qui immanquablement réveille en moi des images érotiques et des envies qui sont trop réelles. J’élimine sans ménagement le long de ses cuisses les crins disgracieux, la rendant aussi douce que la peau d’un bébé. Sa tête sur le coussin oscille de gauche à droite et l’air qui passe entre ses dents sort en sifflant un peu. Elle sent que je suis plus bas que le sexe et son seul mouvement c’est de lever les jambes. J’ai immédiatement une vue sur ce sillon qui lui remonte vers le bas du dos. Le gel de rasage se retrouve encore une fois étalé entre les deux fesses, et un de mes doigts enduit la vallée qui sépare les deux hémisphères. Elle se tortille franchement en ondulant du bassin, comme si elle appréciait cette friction, elle ne ferait pas mieux si je la caressais pour de bon. Une ...