1. Les randonneurs


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fh, couple, forêt, collection, jalousie, noculotte, massage, humour, nature,

    ... Permets que je vérifie. Oh! Le buisson sacré, la vision divine. Aïe. Oooh !— Fallait pas toucher. Ça suffit ou j’appelle au secours ?— Tu m’ouvres ta porte, il n’y a pas d’effraction, tu vas faire mourir de rire ceux qui voleront à ton secours. Je vois que tu as mal au pied, assieds-toi dans ce fauteuil. As-tu une pommade, je vais te faire un massage léger. Je te respecte trop pour te manquer de respect !— C’est déjà fait. Dégage.— Je ne suis pas un inconscient comme ton mari. Je l’ai vu sur la place. Il a mieux à faire que d’aller se promener avec son appareil, il devrait être là à tes pieds, à ma place, en train de te masser, de te caresser.— Arrête maintenant, je n’ai pas d’entorse à la cuisse. Ni plus haut. Tire ta bouche, dégoutant, non, ne suce pas.— Pourquoi? Tu vas voir, je vais te révéler des sensations extraordinaires.— Mais je ne veux pas, julien me comble, ça me suffit.— Julien ? Où est Julien ? Julien court après les femmes des autres dans les bois pendant que sa malheureuse épouse se morfond seule toute une longue journée dans sa maison. Julien t’a abandonnée. Remercie le ciel de m’avoir envoyé pour te distraire. Ça vaut bien un petit bisou, ma chérie.— Ôte-toi ça de la tête. Ni bisou, ni distraction. Tu ramasses ton chien et tu vas travailler à la poste. Ça permettra à ta femme de se reposer.— Depuis un quart d’heure tu discutes, tu m’ordonnes de partir. Tu entretiens une conversation sans but et sans issue. Mais plus ça dure, plus ça te plaît. Tu vois tu ...
    ... n’as pas crié, ta petite gifle ressemblait à une caresse. Tu as envie de faire l’amour avec moi, simplement tu ne veux pas te l’avouer. Ne joue pas à la prude. Une honnête femme ouvre-t-elle sa porte juste vêtue d’un peignoir qui baille sur un corps nu ?— Tu es vraiment pitoyable. Il y a un instant tu me vénérais et maintenant je ne suis pas une honnête femme. Mets-toi d’accord avec toi-même.— Excuse mon emportement. L’amour me rend fou. Laisse-toi faire, une fois, juste une fois. Ton mari est loin, il n’en saura jamais rien. Accorde-toi un petit plaisir innocent, ça ne laisse pas de trace. Juge sur pièce. Et si tu y prends goût nous saurons trouver l’occasion de recommencer. Pourquoi être si farouche ?— J’aime Julien, je ne t’aime pas.— Le monde est rempli de femmes qui aiment leur mari mais qui prennent des petits suppléments avec des amants. Clinton aime Hilary et se fait sucer par Monica, Sabine aime le maire et baise avec l’adjoint, le maire aime Sabine et fornique avec Geneviève. Etcetera. Tu aimes Julien, c’est certain, ça ne doit pas t’empêcher de faire l’amour avec moi, d’y prendre du plaisir et d’en profiter pour mieux aimer ton mari. La monogamie est source d’ennui. Plus tard tu auras des regrets si tu t’entête à contre-courant de la société.— Mieux vaut les regrets que les remords. Bon, ton baratin de comptoir a assez duré. Je te prie de sortir. Peut-être veux-tu te faire casser la figure par Julien ?— Voilà les menaces physiques maintenant ! Si julien en avait, il ...