1. 49.2 Dans ma tête, dans mon cœur, dans ma chair


    Datte: 18/12/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... base de mon cou… sensation d’être complétement à lui, de lui appartenir, sensation de bonheur absolu… Ses cuisses claquent puissamment et bruyamment contre mes fesses… « T’es vraiment qu’une salope, un trou à bite ! » je l’entends se lâcher, la voix raillée par la montée de son plaisir. « Je suis à toi… tu prends ton pied, là ? » j’ai envie de savoir. « Ouaisss… je prends mon pied… » je l’entends balancer, ma voix de plus en plus méconnaissable. « Moi aussi je prends mon pied, tu peux pas savoir… » je me dois de lui rapporter. « Chacun prend son pied comme il peut… » c’est sa réplique, cinglante. « C’est toi qui me fais jouir… » j’insiste. C’est par les mots, c’est le seul moyen que je trouve pour me donner un peu plus à lui. « Bah oui… » fait-il sur un ton méprisant « il y en a qui ont des couilles… et il y en a qui ont juste un cul… », ultime réplique de petit con macho. « Et j’assume… je prends trop mon pied… tu me défonces, et c’est un pur bonheur… vas-y, fais toi plaisir, mec… ». Une idée me traverse l’esprit… une idée passe mes lèvres… « Ta queue est faite pour mon cul, mon cul est fait pour ta queue… ». « T’inquiète… tu vas t'en prendre plein le cul… ». « Oui, c’est ça que je veux… ». Dehors, l’orage redouble d’intensité… en moi, ses coups de reins redoublent de puissance… « C’est ça que tu veux, hein… ma bite bien chaude, te faire remplir de mon jus… ». « Ouiiii, Jérém, c’est tout ce que j’aime… ». Sa baise est puissante, animale, précipitée, presque violente… ...
    ... pendant la pipe, j’avais pris la main, je conduisais le jeu… à l’heure de la sodo, c’est lui qui reprend les manettes… dans ses coups de reins, dans ses invectives, je sens son animosité, son énervement qui ne s’est toujours pas dissipé, sa rage qui refait surface… un emportement perceptible au-delà de son excitation… Sa colère le rend très dominant, petit con pour qui il n’y a que son pied qui compte… « Tu la sens bien, là, hein… » assène-t-il avec une conviction qui n’admet pas de contradiction. « Ouiiii… là je la sens bien… très bien… trop bien… » je le conforte dans son égo. « Elle te fait jouir du cul… » insiste-t-il. Il veut jouir à ce jeu… très bien… je vais jouer… « Ouiiiiii… mec… je prends davantage mon pied par-là que par ma queue… tu me rends dingue… personne ne me fait ce que tu me fais Jérém… tu peux me baiser autant que tu veux… ». Je m’offre à lui… et lui, insatiable, il enfonce le clou… aussi… « T’es une sale petite pute, un trou à jus… ». Le sentir coulisser en moi sans retenue fait monter mon plaisir… j’écarte davantage les jambes, j’en veux plus… ses couilles frappent lourdement mon périnée et mes propres couilles… c’est puissant, je me sens bien soumis, j’ai envie de pleurer tellement c’est bon, tellement je me sens à lui… « Putain, Jérém… vas-y encore, vas-y plus fort, déchire moi… ». « Je vais te défoncer, oui, je vais te péter le cul… ». Et en effet le bogoss n’y va pas de main morte… ses mains attrapent mon bassin d’une part et d’autre pour se donner encore ...
«12...91011...15»