1. 49.2 Dans ma tête, dans mon cœur, dans ma chair


    Datte: 18/12/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... plus d’élan… ses coups sont si puissants que la table se déplace… je me dis que s’il y va si franco il ne va pas tarder à se vider les couilles… je prends de plus en plus mon pied… j’attends que ça vienne… j’attends ses râles puissants, sa délivrance… Mais le bobrun n’a pas fini de faire varier ses plaisirs… A un moment il m’attrape par les épaules, son bassin recule, il sort de moi, il me pousse vers le lit, il me retourne à nouveau, il me pousse jusqu’à que je me laisse glisser sur le lit, allongé sur le dos… je le regarde, debout, en train de me jauger avec un véritable regard de chasseur qui va donner le coup final à une proie qui est désormais totalement en son pouvoir… Je le regarde en train de me dominer de toute sa taille, de toute la puissance de son torse… et ce bandage à l’épaule… ces traces de coups sur le visage… putaaaaaiiiiin… et c’est moi qui me tape ça… Son regard, à la fois noir et plein d’excitation, me fixe intensément… c’est tellement aveuglant que je finis par plier, c’est moi qui coupe le contact… Il grimpe sur le lit en se tenant sur ses genoux… il avance lentement dans l’espace entre mes jambes… son bassin approche de mes fesses… sa queue glisse en moi comme si c’était écrit… elle s’arrête bien au fond, bien au chaud, je la sens frémir en moi… Le bogoss est penché sur moi, le torse tenu en équilibre pas ses bras tendus et ses mains qui enserrent mes bras juste en dessous de mes épaules… la queue calée bien au fond de moi, les yeux fermés, le visage ...
    ... parcouru par des frissons de plaisir… la chainette ondulant en dessous de son cou juste après la vibration de ses frémissements… la respiration très profonde… Qu’est-ce qu’il est beau ce corps luisant, suintant une transpiration obtenue sous l’effort de la recherche de son plaisir… une transpiration qui se mélange à la fragrance entêtante du parfum qui se dégage de sa peau… c’est juste une expérience délirante… Nous restons ainsi pendant un bon petit moment… nos corps parfaitement emboités, mon trou envahi, écarté par son manche, brulant d’envie de se faire secouer encore… « J’ai envie d’avoir ton jus en moi… » je laisse échapper, fou d’excitation… « Je sais… » c’est sa simple réponse de petit con premium, les yeux toujours fermés, toujours sans bouger… Lorsque, quelques instants plus tard, ses yeux se rouvrent en dévoilant un regard froid et fuyant, je sens sa queue repartir lentement en sens inverse… son gland s’arrête juste au bord de ma rondelle… il s’y attarde, il la titille, il joue avec, il la délaisse, il sort, il revient, il s’y frotte dessus, il s’y appuie légèrement... il la provoque, il lui inflige le manque, l’abstinence, le frémissement… J'en tremble… je n’en peux plus… le feu me ravage de l’intérieur… Il revient en moi, mais juste avec le gland… et alors qu’il amorce une fois de plus le geste de délaisser mon intimité, mes mains ont un mouvement de pur instinct… elles saisissent ses avant-bras, dans une tentative désespérée de lui en empêcher… « Dis-le que tu as ...
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