Les joies de la vie en communauté
Datte: 20/12/2017,
Catégories:
fhh,
jeunes,
copains,
grosseins,
fépilée,
cérébral,
revede,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
... sur le fait qu’ils n’ont toujours pas consommé, et qu’il devient complètement dingue. Je suis légèrement tournée vers lui pour le regarder parler. Je vois sa bouche esquisser un sourire, ce sourire qui lui creuse d’énormes fossettes et qui lui donne l’air d’un petit garçon qui vient de faire un mauvais coup, mais avec ses yeux noirs qui percent mon décolleté, ce n’est visiblement pas un petit garçon mais un homme qui me regarde. J’ai effectivement enfilé ce matin, avant de partir en cours, un petit haut drapé qui tombe sur les épaules et qui, s’il n’est pas remonté souvent, finit par cacher mes épaules pour descendre en drapage jusqu’à la moitié de mes seins. J’ai de plus, il faut l’avouer, une forte poitrine, donc un tout petit décolleté a un effet ravageur. Mais là, dans la position dans laquelle je suis, c’est bien la moitié de mon sein qui sort de mon tee-shirt. On peut voir la lisière de mon soutien-gorge et ce couillon a les yeux fixés dessus. J’aurais dû être gênée par ce sein, ou peut-être faire semblant d’être outrée face à son regard, mais à la place, un millier d’images érotiques sont venues s’imprimer sur ma rétine. Non, en fait, je suis juste assise en face de lui, pétrifiée. Il se rassoit un peu mieux et continue à faire la conversation, comme si ce sein était inexistant. Je remets bien mon haut pendant que l’on continue à discuter. J’en peux plus, dans ma tête se succèdent des scènes plus « hot » les unes que les autres. Après avoir fini notre thé, il se lève ...
... pour retourner travailler un peu dans sa chambre. Je me lève en même temps et son corps frôle le mien pour atteindre la porte d’entrée. Et l’alarme incendie retentit. Je reste quelques secondes avant de comprendre ce qu’il se passe, je suis toujours debout face à lui alors qu’il va ouvrir la porte d’entrée. — Et merde, râle-t-il. J’arriverai jamais à bosser. J’enfile mes chaussures et prends une veste pour dehors, ainsi que mes clopes. Après que chacun eut fermé sa chambre, on descend par l’escalier principal. C’est marrant, comme personne ne s’est affolé, on a même croisé des amis qui avaient pris l’ascenseur… Arrivé au quatrième étage, Pierre me regarde et me dit : — J’crois que Gaël dort.— Le bruit a quand même dû le réveiller, répondis-je— Tu rigoles ? C’est une p*tain de marmotte, le gars ! On s’arrête donc au quatrième pour aller frapper à sa porte. On entend un vague bruit derrière, mais avec le son assourdissant de l’alarme, dur de savoir s’il nous parle. La porte finit par s’ouvrir sur un Gaël torse nu, enfilant une veste. Il a l’air complètement endormi. Ce bout de chair m’a excitée. Il est vraiment mieux bâti que ce que laissent entrevoir ses tee-shirts. Sa peau est laiteuse, et semble douce. Je me rends bien compte que je délire complètement. Il remonte la fermeture de sa veste avant de descendre avec nous, il est juste à côté de moi, et suivant comment nos bras se balancent, je sens ses doigts toucher ma cuisse. Dans la froide cour intérieure des bâtiments, Gaël ...