1. Les joies de la vie en communauté


    Datte: 20/12/2017, Catégories: fhh, jeunes, copains, grosseins, fépilée, cérébral, revede, intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, confession,

    ... fume une cigarette. Je vois la fumée traverser l’air. Je vois sa cigarette se poser entre ses lèvres, et me dis que j’aimerais bien être à sa place. Les gardiens de l’immeuble nous indiquent qu’il y a eu une défaillance dans le système incendie et qu’on peut retourner dans nos chambres. — Rah ! Ils sont pas possibles ces gars-là ! râle Pierre.— J’allais dormir moi, ajoute Gaël. Je remarque que sa veste est à peine refermée et que d’où je suis, j’ai une vue imprenable sur ses pectoraux et ses abdos. Je peux même voir la fine ligne de poils sortant de son pantalon de jogging, remonté jusqu’au nombril. — Bon, moi je remonte, annonce Pierre en s’éloignant. Gaël et moi échangeons un regard. — Tu payes ton thé ? demande Gaël, me faisant reprendre contact avec la réalité.— Ah ouais, moi aussi j’suis pour un thé encore, lance Pierre de loin. Nous remontons donc ensemble. Chacun y va de son petit commentaire en attendant l’ascenseur. Il n’y a plus personne car nous avons fini nos clopes avant de rentrer. En un rien de temps, les quelque cent personnes qui vivent dans le même immeuble que nous ont disparu. Dans l’ascenseur, je suis entre Pierre et Gaël, ce dernier devant moi, parle à Pierre qui est appuyé contre le mur dans mon dos. Je sens la chaleur des deux corps m’entourer. L’ascenseur s’ouvre dans un bruit de grincements qui me ramène à la raison. Bien, maintenant tout ce beau monde entre dans ma chambre. Je lance la bouilloire, et prépare le thé, pendant que les mecs prennent ...
    ... possession de ma chambre, l’un tirant une chaise pour s’asseoir, l’autre calant des coussins contre le mur pour se mettre sur mon lit. Je pose la théière à côté de Gaël, lui intimant de nous servir quand le thé sera assez infusé. Mon sein touche son épaule pendant que je fais ça, et ce bref contact m’électrise. Je préférerais qu’ils prennent possession de moi plutôt que de cette pièce. La conversation va bon train. J’ai ma tasse à la main, et suite à un éclat de rire, me verse du thé sur mon top. Je sursaute de peur de me brûler et en fais tomber sur mon dessus de lit. — Allez, pose cette tasse avant de faire n’importe quoi ! m’ordonne Pierre. Gaël s’est retourné sur sa chaise pour prendre le sopalin. Je me mets à quatre pattes sur le lit pour poser ma tasse sur mon bureau, et Gaël se retourne pour me tendre le morceau d’essuie-tout. Je suis alors face à lui, mon décolleté ne cachant absolument plus rien de ma poitrine. Je suis allongée sur le lit, Gaël toujours en face de moi, et Pierre à mes côtés. Ils parlent de cul, pour changer. Des allusions par-ci, des allusions par-là, saupoudrées d’un peu de vulgarité qui font d’eux des « hommes ». Ma bouche est sèche, j’ai envie d’eux, ensemble, comme un corps indissociable. La tension monte, et je prends mon courage à deux mains. — Je suis fatiguée, je vous mets dehors.— Okay, bonne nuit alors. Ils me font tous les deux la bise, et repartent. Je m’affale plus que je ne m’allonge sur mon lit. Mon gode va encore faire des ravages ce ...