La détresse de l'aide soignante (5)
Datte: 21/12/2017,
Catégories:
Trash,
Je me suis réveillé en pleine nuit. La pièce était plongée dans le noir, et je ne savais absolument pas où je me trouvais. Une horrible sonnerie retentissait de l’autre côté du lit. Puis je me suis calmé en sentant le corps nu de Julie venir se coller contre moi. — Désolé, m’a-t-elle dit à voix basse, c’est mon réveil, je dois aller bosser. — Mais il est quelle heure ? — Six heures. Je suis désolée. Les images de la veille me sont revenues progressivement, et j’ai senti une érection pointer le bout de son nez. Mes yeux s’étaient maintenant habitués à l’obscurité, et j’ai aperçu Julie à côté de moi en train d’agrafer son soutien-gorge. Elle cherchait visiblement le reste de ses sous-vêtements quand je l’ai attrapée par le bras. — Ta culotte est dans un sale état, je te rappelle. Et puis viens plutôt par là me dire bonjour. Julie s’est rapprochée de moi et je l’ai attrapée par la nuque. Pour qu’elle vienne m’embrasser, dans un premier temps, puis je l’ai faite glisser le long de mon corps. Sachant ce qu’elle avait à faire, elle a elle-même relevé la couette, dévoilant ma nudité et un début d’érection. Sans hésiter plus longtemps, elle a ouvert grand la bouche pour avaler mon sexe. Comme à chaque fois désormais, elle m’a pris au fond de sa gorge. Je l’ai entendue tousser, et s’étouffer, et cracher, mais Julie ne m’a pas lâché et elle a continué à me sucer. Me laissant complètement aller au plaisir, je me répandais quelques minutes plus tard au fond de sa gorge en grognant. — ...
... T’es vraiment une bonne chienne, lui ai-je dis en caressant son crâne. — Merci, m’a-t-elle répondu en retirant mon sexe de sa bouche, laissant sa bave couler sur mon pubis. Julie est ressortie du lit et s’est remise à la recherche de ses vêtements. Elle a regardé l’heure sur son téléphone, et a accéléré la cadence quand elle a vu qu’elle était en retard. Une fois habillée, elle est passée dans la petite salle de bain pour nettoyer les traces de bave et de sperme autour de sa bouche et remettre un peu d’ordre dans ses cheveux. Puis elle est venue m’embrasser au lit. — Désolé, m’a-t-elle dit. J’aurais aimé rester plus longtemps pour profiter. — T’en fais pas. J’en ai pas fini avec toi. Malgré l’obscurité, j’ai pu lire un sourire sur son visage. — Tu es un peu libre cet après-midi ? ai-je demandé. — Je dois aller voir un patient vers treize heures, et ton grand-oncle ensuite, à dix-huit heures. — Très bien. Passe me chercher à quatorze heures alors. Je l’ai embrassée, claqué son cul, et Julie est partie. Quant à moi, je me suis rendormi jusqu’à neuf heures et quelques, quand le soleil a commencé à envahir la chambre. J’ai récupéré tout ce qui traînait dans la chambre, dont la culotte souillée de la veille de Julie, et je suis descendu payer la chambre. Lorsque je suis arrivé chez Raymond, il était dans son fauteuil, devant son émission préférée. Julie venait apparemment de partir, nous nous étions loupés de peu selon Raymond. Je le voyais, cependant, qui me regardait avec un grand ...