La détresse de l'aide soignante (5)
Datte: 21/12/2017,
Catégories:
Trash,
... immédiatement pris son téléphone et appelé son patron, qui est arrivé dans les trente secondes qui ont suivi. Julie s’est ainsi retrouvée face à trois sexes. Comme mes deux compères, je me branlais énergiquement face à ce joli minois, certes dévasté par tout ce que je lui avais fais subir, mais tellement excitant. Le client, un homme d’une cinquantaine d’années, bedonnant et presque chauve, a été le premier à jouir, laissant une traînée de sperme sur sa joue droite, et jusqu’à ses cheveux en bataille. J’ai été le suivant à jouir, quelques secondes après, mais j’ai pour ma part visé la bouche grande ouverte de ma compagne. Julie a tiré la langue pour en recueillir le plus possible, et a immédiatement tout avalé. Enfin, le patron, la quarantaine, avec de vieux airs de Jean-Luc Lahaye, a été le dernier à s’épandre sur ma belle, recouvrant sa joue gauche et son nez de sperme. Deux minutes sont passées, durant laquelle toute la tension sexuelle qui régnait dans ce sex-shop est retombée lentement. Le client a remercié tout le monde en se rhabillant, avant de partir en lançant un «à demain!» à la caissière. Puis c’est le patron qui nous a remercié et s’est éclipsé à son tour. — Tu leur fais un geste commercial, okay ? a-t-il pour sa part lancé à la caissière. — Oui, je vais leur faire un petit cadeau. La caissière s’est levée de son ...
... siège et est allée faire un tour dans les rayons. Julie s’est relevée, elle était dégoulinante de sperme, de mouille, de bave. Dans un sale état mais tellement belle. La vendeuse est revenue une minute plus tard avec un petit plug anal dans la main. — Si je peux me permettre, a-t-elle dit, c’est tout ce qui manque à sa panoplie. Je peux lui mettre moi-même ? Julie s’est à nouveau penchée contre le comptoir. La vendeuse a écarté l’une de ses fesses et poussé l’objet métallique dans son cul encore entrouvert, ne laissant que le bijou rose dépasser. C’était parfait. J’ai dis à Julie de se rhabiller, puis j’ai récupéré et payé nos achats. A notre tour nous avons salué la vendeuse, et nous sommes partis. Comme à l’arrivée, Julie a dû faire les quelques mètres qui nous séparaient de la voiture avec son collier de chienne, son visage maculé de sperme, et ce aux yeux de tous. Mais l’orgasme l’avait apaisée, et elle avait l’air beaucoup plus sereine. Une fois dans la voiture, elle a retiré le masque et l’a jeté sur la banquette arrière, puis elle a pris un mouchoir et tenté de nettoyer un peu son visage. — C’est d’une douche, dont tu as besoin, lui ai-je dis. Tu t’arrêteras chez Raymond et pour une fois c’est moi qui ferais ta toilette. Julie m’a regardé en souriant, et je l’ai embrassée avec fougue, avant qu’elle ne reprenne la route.