1. La détresse de l'aide soignante (5)


    Datte: 21/12/2017, Catégories: Trash,

    ... en même temps, m’a dit la vendeuse en me faisant remarquer les glands factices à chaque extrémité. L’idée me séduisait, et j’ai eu envie d’abuser de chacun des trous de Julie avec cette bite en plastique. Je lui ai fait part de cette belle idée, tout en glissant le sextoy entre ses cuisses poisseuses, sur le long de sa fente, jusqu’à son clitoris qui réclamait que l’on s’occupe de lui. Julie grognait de plaisir, les doigts toujours cramponnés au comptoir. — Tu sens cette énorme queue entre tes cuisses ? lui ai-je demandé. — Ou... oui, bien sûr. — Considère la comme le prolongement de la mienne. — Très bien, monsieur. — Ouvre ta bouche. Julie s’est exécutée et sans plus attendre j’ai posé le gland noir, recouvert de mouille, tout contre sa langue. Une main à l’arrière de son crâne et l’autre sur le sextoy, j’ai poussé celui-ci dans sa gorge. Julie l’a avalé du mieux qu’elle a pu, mais j’avais pénétré sa gorge depuis quelques secondes quand elle a eu un haut-le-cœur, toussant et crachant sur le comptoir. — Voilà une petite chienne bien sale, ai-je dis en enfonçant à nouveau le gode dans sa gorge. Cette fois, je n’ai pas retiré le bout de caoutchouc de sa bouche, même quand elle s’est étouffée. Je l’ai laissée tousser et se baver dessus, enfonçant le gode un peu plus loin à chaque fois. Les larmes lui coulaient sur les joues, mais cela m’excitait de la voir dans cette situation, de voir le sexe en plastique déformer sa gorge. Lorsque j’ai fini par libérer sa bouche pour la ...
    ... laisser un peu respirer, Julie était dans un sale état. Son maquillage avait largement coulé sur ses joues, tandis que de son menton coulait un épais filet de bave. Peut-être était-il temps que je laisse sa gorge en paix. — Écarte tes fesses, lui ai-je donc ordonné. Je savais que je l’avais déjà bien sollicité la veille, mais son petit trou me donnait bien trop envie, et je n’ai pas résisté à l’envie de poser le gland en caoutchouc tout contre son anus. Voyant ce que je m’apprêtais à faire à Julie, la vendeuse m’a tendu un petit flacon de lubrifiant, que j’ai versé entre les fesses de ma belle. Dès lors, le gode est entré en elle avec beaucoup plus de facilité. La tête contre le comptoir, Julie grognait tandis que je la sodomisais, et moi ça m’éclatait. J’adorais voir cet anus s’ouvrir au passage du sextoy, de voir sa fente, un peu plus bas, dégouliner de plaisir, et de l’entendre prendre son pied. La cadence accélérait, et les grognements de Julie se transformaient en cris. Une main sur le sexe en plastique, j’ai laissé glisser l’autre entre ses cuisses. J’avais glissé mes mains entre ses cuisses plus d’une fois ces derniers jours, mais jamais je ne l’avais sentie aussi mouillée. Son jus coulait de son sexe jusqu’à recouvrir tout le haut de ses cuisses. Passant mes doigts sur sa fente, ceux-ci se sont retrouvés presque avalés par cet orifice en feu. — Tu es trempée, lui ai-je dis en enfonçant trois doigts en elle sans le moindre problème. — Oui... C’est tellement bon... J’ai ...
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