Un certain mercredi
Datte: 21/12/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fsodo,
extraconj,
Résumé : «Un certain dimanche » Appelée en urgence un dimanche par son patron qui la drague depuis un certain temps, Sylvie a fini par craquer, avec la bénédiction de son mari qui avait en lui depuis longtemps le fantasme du candauliste. Mais ce n’est pas toujours facile à gérer pour elle. Après ce satané dimanche mouvementé, ce lundi matin, il faut que je retourne à mon travail, et bien sûr, revoir André, mon patron ! Je suis gênée et honteuse, un tas de sentiments se mélange en moi, car fatalement, je dois croiser André, et je me souviens encore trop bien de ce qui s’est passé hier, dimanche avec lui. En plus, je risque de croiser Anaïs, ma patronne, qui est aussi la femme d’André, et j’appréhende ce moment ! Va-t-elle se douter de quelque chose ? Est-elle au courant ? Comment vais-je me comporter ? Bref, mille et une questions se bousculent dans ma tête enfiévrée ! Je sais bien que lui et elle, ça ne fonctionne plus, mais ils forment quand même un couple, même au bord du divorce. Et je ne sais toujours pas pourquoi il m’a pris la fantaisie de céder à André ! Ne jamais mélanger sexe et boulot ! Pourtant je le savais ! Bon, je n’ai pas le choix, je dois y aller. Je respire un grand coup. Mon patron est assis à son bureau, comme souvent. J’entre et lui dis bonjour de mon air le plus naturel, comme si de rien n’était. Amusé, il me regarde et me demande : — Ah bonjour, Sylvie, comment ça va ?— Bien… ça va bien…— Ça a été hier, quand vous êtes rentrée ? Votre mari n’a rien dit ? ...
... Je suis un peu surprise qu’il me demande pour mon mari, je lui réponds : — Pas de problème, tout a bien été.— Pââârfait ! La journée se poursuit sans accros. Incidemment, je croise la patronne, je lui lance un bonjour et apparemment, tout est comme d’habitude. C’est une sensation étrange qui m’enveloppe, c’est comme si hier n’avait pas existé, comme si j’avais rêvé tout ça. Je suis soulagée ! Lundi passe comme une lettre à la poste, mardi aussi. Mon traintrain quotidien se déroule comme du papier à musique : gérer les rendez-vous, répondre au téléphone et aux mails, passer des factures, taper le courrier, apporter le café. Eh oui, je fais un peu de tout. Je sers même de consolatrice le dimanche ! Et me voici arrivée à mercredi. Anaïs (la patronne) est partie sur un salon professionnel à trois cents kilomètres d’ici. Le patron et la patronne ont monté tous les deux l’entreprise dans laquelle je travaille. Même si leur couple intime est en rupture, je pense que, côté affaire, ils ne sont pas près de se taper dessus, l’un étant indispensable à l’autre et vice-versa. Un mariage de raison, en quelque sorte… Je suis en train de rédiger un courrier, lorsque l’interphone vibre ; c’est André, il me demande : — Sylvie, voulez-vous bien monter ? À l’étage, il y a quelques pièces aménagées comme si nous étions dans une petite maison, ou plutôt un loft : une salle de vie, un coin cuisine, deux chambres et une salle de bain commune. Je monte, je ne vois personne ! Je demande : — Vous êtes ...