1. Un certain mercredi


    Datte: 21/12/2017, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail fsoumise, Oral pénétratio, fsodo, extraconj,

    ... oui que c’est bon » ! Le fantasme féminin du viol consenti… Des tas de petits cris s’évadent de ma bouche, je jouis quasi instantanément. Tandis que mon corps est secoué de spasmes, il me tringle sans vergogne : — Vous voyez que vous avez autant envie que moi ! Il me prend à même le sol de la salle de bain, bestialement ! Il me retourne ensuite dans tous les sens, missionnaire, levrette, Andromaque, et j’en passe. À un moment il me fait mettre à nouveau en position de levrette et là je sens sa queue se mettre devant mon petit trou, je lui crie presque : — Non, André, pas par là ! Elle est trop grosse, et mon mari m’a jamais prise par là !— Je veux aller partout en vous ! Je vais vous faire découvrir tous les délices du sexe, des choses que vous n’avez jamais connues !— André ! C’est… je… Il se penche pour mettre ses lèvres à mon oreille, tandis qu’une de ses mains pétrit un sein, le malaxe, titillant ci et là mon téton érigé. D’une voix rauque qui me retourne, il susurre : — Raison de plus pour que je t’encule, petite pute ! Tu verras, c’est très bon quand on est une petite salope ! Et tu es une petite salope, n’est-ce pas ?— André !— Ta bouche ne le dira pas, pas tout de suite, mais ton corps, tes réactions, ta jouissance, tes cris parlent pour toi. Tu es une salope, une belle salope, comme nous, les hommes, les aimons ! Maintenant, ne bouge pas ! Il se relève, prend quelque chose dans l’armoire, s’en badigeonne le sexe. Puis il me lubrifie l’anus de cette substance ...
    ... gélatineuse. Je frémis, mais je reste à quatre pattes, obéissante, sans m’enfuir. Cyniquement, il me le fait constater : — Pour une pauvre femme qui ne voulait pas, je te trouve bien docile…— Euh… je… Puis il se positionne, je sens à présent son gland à l’entrée de mon petit trou, je tremble à la fois d’excitation et de peur ! Comme je le redoutais, sa queue est bien trop grosse, il n’y a que son gland qu’il arrive à faire pénétrer en moi, péniblement. Je me sens déjà comme encombrée, saturée. La sensation est puissante, mais pas trop douloureuse. Il entame quelques mouvements de va-et-vient, mais il doit se rendre à l’évidence : c’est trop serré, trop étroit. — Ah, hé merde ! Hier, je louais votre étroitesse de jeune-fille… Aujourd’hui, je la maudirai !— Désolée, mais vous êtes trop gros !— Je vois ça ! Avoir une grosse queue n’a pas forcément que des avantages… En tout cas, je peux vous garantir que c’est quand même très bon d’être dans votre mignon petit cul ! Dommage que je ne puisse pas tout mettre, mais un jour, j’y parviendrais. N’est-ce pas, Sylvie ?— Si… si vous le dites… Puis changeant de ton : — Dis que tu veux ma queue dans ton cul… dis-le !— Euh… je…— Dis-le !— Euh, oui… je voudrais bien…— Tu veux bien quoi ?— Avoir votre grosse queue en moi !— Et où ça ? Une digue cède, je m’excite, rien qu’à avouer : — Dans mon cul, oui, complètement dans mon cul ! Je veux votre grosse queue dans mon cul !— Oui, je me ferais un plaisir de te la mettre un beau jour, crois-moi ! Alors il ...
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