1. Un certain mercredi


    Datte: 21/12/2017, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail fsoumise, Oral pénétratio, fsodo, extraconj,

    ... où ?— Ici ! C’est alors que j’entends un bruit d’eau, mon patron est visiblement dans la salle de bain. Il me le confirme très vite en disant : — Venez à la salle de bain, svp. La porte est entrouverte, mon patron est sous la douche, derrière une vitre dépolie. Je reste devant la porte. J’entends sa voix : — Je viens de m’apercevoir qu’il n’a plus de grande serviette. Voulez-vous m’en chercher une dans la chambre d’amis, placard de gauche ? Merci ! Je m’exécute et je reviens deux-trois minutes plus tard avec deux serviettes, car on ne sait jamais. Les hommes sont si souvent imprévoyants. Je lui demande : — Je vous les pose sur l’évier ?— Pas la peine, je sors ! Puis joignant le geste à la parole, il ouvre la porte de la douche. Détournant pudiquement la tête, je lui tends une serviette sur les deux. S’en saisissant, il rigole posément ! — Ha ha ha ! Ne soyez pas timide, vous m’avez déjà vu nu, il me semble !— Peut-être… mais c’est pas une raison… Du coin de l’œil, je ne peux m’empêcher de regarder sa queue. Même au repos, elle est plus grosse que celle de mon mari quand celui-ci bande. Bien sûr, il aperçoit de mon regard en biais : — Je vois qu’elle vous plaît toujours autant… Il lance un bras pour me capturer la taille et m’attirer contre lui. Un peu surprise, je ne résiste pas et je me retrouve plaquée contre son corps nu et encore mouillé. André s’empare de mes lèvres et m’embrasse de façon ravageuse, tout en se frottant impudiquement contre moi. Je me laisse faire avec ...
    ... délectation, j’adore finalement ce genre de situation un peu incongrue, mais excitante. Tandis que nos langues se cherchent, se nouent, il continue de se frotter lubriquement contre moi, me faisant bien sentir qu’une partie de son anatomie durcit. Puis délaissant mes lèvres, il murmure : — Je vois que vous n’avez pas oublié dimanche…— Avec tout ce qui s’est passé, j’aurais eu du mal !— En tout cas, vous ne semblez pas regretter… Je rougis, me dispensant de répondre. S’écartant un peu de mon corps, il prend ma main et la pose en dessous de ses couilles encore mouillées, puis il mime avec ma main plaquée contre ses boules dodues le geste de les pétrir. Je m’exécute avec plaisir, massant bien ses testicules avec soin et taquinant du bout des ongles sa queue frémissante. Bien sûr, il n’en faut pas plus pour que sa verge devienne totalement dure comme de l’acier ! Après quelques agaceries, il désigne de l’index son gros sexe qui enfle : — Faites-moi donc goûter à vos douces lèvres !— Vous abusez !— Oui, j’abuse, mais c’est si bon, surtout dans votre bouche… Je pourrais refuser, quitter la salle de bain, mais docile, je me mets à genoux, puis je dépose sa queue déjà à moitié dure entre mes lèvres afin de l’absorber. Elle grossit de plus en plus, et j’ai du mal à lui sucer correctement, car je ne suis pas vraiment habituée à avoir en bouche une aussi grosse ! Mais je m’applique comme je peux. — Veuillez arrêter, sinon… Ça va, André est bon public, je n’ai pas eu l’impression d’avoir ...
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