1. Un certain mercredi


    Datte: 21/12/2017, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail fsoumise, Oral pénétratio, fsodo, extraconj,

    ... se retire, se nettoie un peu, puis me la remet dans la chatte. À présent, il recommence à me pistonner, à me prendre de plus en plus fort. Je ne sais plus combien de fois j’ai à nouveau joui, mais ça a été quasi en continu, sans relâche, comme une longue chute de plusieurs milliers de mètres. — Hein, t’aimes ça !— Oh oui ! Encore ! J’adore être sa chose, qu’il me prenne, qu’il me possède, qu’il me fasse jouir comme une petite folle. Oui, il se sert de moi, oui, je suis son objet, mais c’est si bon ! — Dieu que c’est bon que tringler une belle pute comme toi !— Ah… oh… oh oui ! J’ai distinctement senti son énorme mandrin s’enfoncer au plus profond de mes entrailles, et je sens son sperme chaud et puissant m’inonder de nouveau. Cette forte sensation me fait aussi jouir comme une petite folle ! Je suis sa chose, son désir, son plaisir, et le savoir, le reconnaître me procure une immense joie trouble ! Épuisé, il se laisse choir sur le côté, me délivrant de son emprise. Hébétée, je m’affale sur le ventre, je reprends mes esprits et là, je me dis en moi-même : — Mon dieu qu’est-ce que j’ai fait ? Je suis une traînée ! Je viens de me faire baiser comme une chienne sur le sol ! Mais en même temps, j’ai aimé ça ! Oui, j’ai envie de jouir, d’avoir des orgasmes puissants et violents. Ce n’est pas la première fois que je jouis, mais avec André, c’est différent. Je sens que je change. Et si cette femme fantasmée par mon mari était en train d’arriver ? Mon patron interrompt mes pensées ...
    ... : — Bon, j’aurais beaucoup aimé recommencer, ma petite Sylvie, mais hélas je vais devoir y aller, j’ai un rendez-vous. Je reprends une douche en vitesse. Pourriez-vous ranger après mon départ, s’il vous plaît ?— La secrétaire, la maîtresse et la bonne, il vous faut décidément tout !— Je suis exigeant, je sais. Et il se penche sur moi, pour l’embrasser, et je ne fais rien pour le chasser ! Le temps de sa douche, je me lave rapidement à l’évier. Puis je descends. De son côté, il se rend dans une chambre pour s’habiller. Quand il descend, je suis à mon bureau où j’ai repris la missive que j’étais en train de rédiger. Il s’adresse à moi, une nuance admirative dans la voix : — Belle conscience professionnelle, Sylvie !— C’est pour cela que vous me payez, non ?— Au début, oui. Mais je sens que je vais élargir vos compétences !— Pour élargir, vous savez m’élargir !— Oh, deviendriez-vous triviale, mon adorable secrétaire ?— Euh… Il vient se planter juste à côté de moi : — Je viens vous dire au revoir, vu que je ne rentrerai sans doute pas avant que vous ne partiez. À moins…— À moins que quoi, André ?— Que vous restiez jusqu’à mon retour ici, et que nous passions la nuit ensemble. Après un petit restau, bien sûr.— Je crois que vous rêvez les yeux grands ouverts, cher patron…— Dommage, j’aurais tenté ! Et il rit de bon cœur. Puis il se penche dangereusement sur moi, conversant plus sérieusement : — Et un beau jour, je passerai par-derrière. Nous irons petit à petit, mais je vous veux ...
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