1. Un trou cyclopéen


    Datte: 22/12/2017, Catégories: hh, hbi, inconnu, complexe, bizarre, sexshop, cinéma, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, hsodo, méthode, confession,

    ... pique). De cette salle de cinéma, trois couloirs menant à différentes pièces. Là encore, le propriétaire des lieux a pensé à toutes les envies : de grandes pièces pour deux ou trois couples voulant se donner ensemble du plaisir, des cabines dans les endroits les plus sombres pour s’isoler face à un film porno (poubelles vidées régulièrement, papier hygiénique disponible), pourvues ou non de glory holes, de plus grandes cabines munies d’une petite fenêtre pour être observé durant sa masturbation ou sa partie de jambes en l’air (il faut bien faire savoir aux autres qu’on prend son pied, et qu’eux n’ont pour l’instant que la possibilité de s’astiquer), une « dark room », une pièce pour les plaisirs sadomasos et même une autre pour jouer au docteur. Trouver une cabine libre avec glory hole. S’installer tranquillement. Disposer du papier hygiénique à côté de soi sur le fauteuil en simili-cuir pour recueillir les dons de sperme et essuyer mes mains. Laisser une petite bouteille de lubrifiant ouverte pour éventuellement arroser avec ma main libre la queue que je serai en train d’astiquer avec gourmandise. Un clapet permet d’ouvrir ou de fermer le trou circulaire. Tout le monde ne cherche pas à sucer dans ces cabines. Certains veulent juste pouvoir se branler à l’abri des regards. Cinquante-cinq chaînes à choisir. Une sorte de joystick se trouve à ma droite pour les faire défiler : gang-bang, bukkake, porno gay, milf, teens, big boobs, preggo, femdom, raped… il faut avoir fait un ...
    ... peu d’anglais et s’y connaître en porno pour comprendre tout ça. Entrer dans ce cinéma, faire un petit tour du propriétaire pour prendre la température des lieux au moment où on arrive, ne pas savoir comment va se passer ce moment : c’est là le charme de ces visites. Parfois il n’y a personne, ou les rares présents ne veulent pas se faire sucer. Parfois les queues s’enchaînent. Quand un se fait sucer, plaqué contre la cloison, les autres voient bien qu’il y a alors de quoi se soulager. Ils attendent sans doute de prendre leur tour. Pour une queue soulagée, une autre se présente tout de suite après. La cloison est fine, on entend les râles de bonheur de ces hommes. Le bruit de la boucle de ceinture qu’on décroche et celui de la braguette qui descend indiquent toujours l’arrivée de mon bonheur. Elle arrive souvent légèrement molle, parfois une demi-bandaison. Quelques coups de langue, une prise en bouche. J’aime sentir la queue gonfler dans ma bouche, sentir le gland se durcir contre ma langue qui caresse le frein. Il faut s’appliquer, entre phase de succion goulue plus ou moins rapide et masturbation, c’est un moment qui dure quelques minutes, trois au maximum. Au-delà, le porteur de chibre commence à s’impatienter. C’est que ça ne vient pas (je ne considère pas que mes talents soient à remettre en cause à ce moment). Mais quand ça vient, c’est pour moi un grand bonheur. Dans la bouche, sur ma main en train de branler ou parfois sur mes vêtements quand les jets sont puissants, ...
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