1. Soumission au bord de la piscine


    Datte: 23/12/2017, Catégories: fffh, fplusag, oncletante, fépilée, vacances, piscine, jardin, hsoumis, chantage, chaussures, Masturbation Oral 69, pénétratio,

    Plutôt qu’un piètre résumé, je vous conseille vivement de lire la première partie de cette confession « Ma première fois avec Patricia », récit #08081, daté du 06/11/04. Je restai prostré là, dans mon lit, fixant le plafond avec un regard brumeux typiquement post-coïtal. Il me fallut de longues minutes pour pleinement émerger de ces bouffées de fatigue. Je regardais le radio-réveil, à peine neuf heures du matin et Patricia, ma tante, venait de m’administrer une fellation. À travers un drap, certes, mais le plaisir n’en fut que plus intense. Les cinq premiers jours de mes vacances, je les avais passés à fantasmer sur ma tante, le sixième, c’est elle qui passa à l’acte. Je n’en revenais toujours pas. Je souriais béatement, heureux d’avoir assouvi ce fantasme et même si je n’y étais absolument pour rien, même si il n’y avait eu qu’un contact buccal à travers ce satané drap, j’étais fier. Passif à souhait, je restais ainsi, à profiter pleinement de la situation, sans penser à après. Je ne voulais pas que cela cesse, je faisais durer cet instant d’ordinaire trop éphémère. Patricia, ma tante, venait de me sucer. Whaaaa !! Le drap était encore humide de sa salive, mon pubis tout gluant de ma semence, mon sourire encore affiché. Et puis, vint le moment d’enfin se lever. Je commençai par laver au plus vite mes draps avant le retour de mon oncle. À l’ancienne, eau bouillante et savon, j’effaçai méticuleusement les dernières traces de ma jouissance tel un criminel minutieux, puis me ...
    ... lavai dans la salle de bains adjacente à ma chambre. À peine habillé, je décidai d’aller pendre mes draps dans le jardin. Ce n’est qu’en ouvrant la porte que la peur me saisit. Perdu sur mon petit nuage, je nageais bêtement dans une confiance et une euphorie inhabituelle. À peine la porte ouverte, je sursautai. Comment réagir désormais ? Quels allaient être mes rapports avec Patricia ? Elle reste ma tante, par procuration certes, mais c’est la femme de Michel, mon oncle. J’étais rapidement tétanisé à l’idée de la voir. Je restai là, figé dans l’embrasure de la porte, terriblement inquiet. Ma chute avait été brutale, le plaisir pris il y a à peine une heure par cette fellation s’était soudainement transformé en cauchemar. C’était plus fort que moi, j’appréhendais de la voir. Je paniquais à l’idée de devoir adresser la parole à cette femme qui venait de me sucer, ni plus ni moins. Je ne savais pas comment réagir, je ne savais pas pourquoi elle m’avait fait ça, j’étais perdu et apeuré. D’un pas hésitant, je traversai la maison direction la terrasse pour y accrocher mes draps humides. Personne dans le salon, pas de Patricia autour de la piscine, ni même dans le jardin. Le cerveau en ébullition, je cherchais mes premiers mots à son égard si jamais elle venait à surgir devant moi. J’anticipais par là même ses réactions, sa ligne de conduite. Bien entendu, aucune allusion à ce que je considérais désormais comme une «fellation accidentelle», un faux-pas de sa part, une pulsion subite. ...
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