Soumission au bord de la piscine
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
fffh,
fplusag,
oncletante,
fépilée,
vacances,
piscine,
jardin,
hsoumis,
chantage,
chaussures,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
... menue et réservée. 1m65 tout au plus, plus timide que ses deux amies, Ce n’était pas ses seins ou ses fesses qu’on remarquerait d’abord chez elle, mais son sourire. Cheveux noirs coupés au carré, peau très blanche. Une envie de la protéger, tellement elle paraissait fragile, l’antithèse de Florence. (Mais les apparences sont parfois trompeuses). Et Patricia, inutile de vous rappeler à nouveau son physique. De quoi pouvait donc parler ces trois femmes élégantes et éméchées, en plein été ? Eh bien, après quelques futilités concernant le travail, le sujet dévia rapidement sur le sexe, pour ma plus grande joie. Florence y allait de sa dernière conquête, un Italien rencontré dans un bar. Les détails les plus crus sur leur nuit me choqua, moi qui croyais qu’il n’y avait que les hommes pour être aussi crus et directs. Sabine acquiesçait souvent, souriait toujours, mais parlait peu. Patricia multipliait les questions intimes, et ne perdait pas une miette des confessions de son amie, comme moi d’ailleurs. Puis ce fut au tour de Sabine de rentrer dans le vif du sujet. Hélas, sa petite voix fluette m’était presque inaudible, je discernai mieux les commentaires et les réactions suscitées. J’en déduisis qu’elle s’était fait draguer par un collègue de travail plus âgé qu’elle et marié, et qu’au cours d’un déplacement, elle avait succombé, pour son plus grand plaisir. Malheureusement, les détails les plus croustillants furent prononcés à voix basse, presque dans le creux de l’oreille, ...
... avec des regards furtifs mais insistants vers moi. Je jouai mon rôle de lecteur-bronzeur à la perfection, contrôlant même mon rougissement face aux déclarations féminines. Et puis vint le tour de Patricia. Je fus rapidement pris de panique lorsque je ne les entendis plus. Je tournai la tête, et je vis leurs trois regards posés sur moi, tout sourire, les yeux pétillants de malice. J’enlevai mon casque. — Qu’est-ce qui y’a ? Osai-je, amusé.— Non rien, je parlais juste de toi à mes amies. Ton boulot, ta situation, ce que tu faisais pendant tes vacances…Ton réveil de ce matin par exemple. Et les trois femmes partirent dans un franc fou rire, ne perdant pas une miette de ma profonde gêne. Mal à l’aise et en colère que Patricia me ridiculise ainsi et me jette en pâture, je jouai les blasés et repris un semblant d’occupation. Avec cette fois-ci la musique à fond, je replongeai dans ma BD, très énervé. Je devinai leur regard et leurs rires, mais je tentai vainement de décrocher pour me replonger dans ma lecture. Cinq minutes de ce traitement et je reçus un projectile, un biscuit sec, lancé par Patricia. — Dis Anthony, mon petit neveu adoré, Florence ne me croit pas sur tes dimensions exceptionnelles. Tu ne veux pas nous faire un strip-tease ? Cette fois-ci, c’en était trop. Je me relevai d’un bond, enfilai mes baskets, bien décidé à mettre au plus vite de la distance entre ces femmes et moi. Un tour à vélo en forêt me ferait le plus grand bien. Je contournai la table, très énervé, ...