Soumission au bord de la piscine
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
fffh,
fplusag,
oncletante,
fépilée,
vacances,
piscine,
jardin,
hsoumis,
chantage,
chaussures,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
... émanaient de la maison. Patricia était rentrée et elle n’était pas seule, malheureusement. Un coup d’oeil rapide à mon portable, quatorze heures passées, puis je me précipitai sur mon tee-shirt, trop pudique pour être ainsi offert au regard d’une inconnue. Patricia passa sa tête par la baie vitrée, et me sourit : — Anthony, j’ai invité deux collègues pour l’après-midi, tu as nettoyé la piscine ?— Oui ce matin vite fait, bredouillai-je, puis elle disparut dans la maison, direction la cuisine avec ses amies. Je me relevai lentement, pas pressé de saluer ces inconnues. Aux rires et aux voix aiguës, j’en déduisis qu’il s’agissait uniquement de femmes. Je fis mon apparition dans le salon, un silence brutal m’y accueillit, vite rompu par Patricia : — Florence, Sabine, voici Anthony, mon charmant petit neveu. (Cette abondance d’adjectifs était-elle destinée à me gêner ? C’était très efficace en tout cas). Un hochement de tête, et un faible salut, ma main grattant l’arrière de ma tête, signe évident de gêne, avant que Patricia ne reprenne les rênes, avec une telle délicatesse : — Tu peux leur faire la bise, elles ne vont pas te manger ! Rires de l’assistance. C’est en leur administrant deux bises à chacune que je remarquai un parfum alcoolisé. Ces trois jeunes femmes sortaient d’un restaurant, où le repas fut apparemment copieusement arrosé. Ceci expliquait leur allégresse. Puis ma tante se rua sur moi, pour elle aussi avoir droit à ses deux bises. Collées contre moi comme ce ...
... n’était pas permis, ses deux amies gloussèrent de plus belle, avant que l’une d’entre elles croit bon de rajouter un "Ho ! Il rougit !". (Remarque dont je me serais bien passé, décuplant le phénomène). Je m’extirpai tant bien que mal de la cuisine, et décidai de regagner mon transat, le discman sur les oreilles. Une BD dans les mains, les manches de mon tee-shirt remontées sur les épaules, je continuai à bronzer, moins déshabillé qu’auparavant, et surtout un peu contrarié par ce que je venais de subir. Les trois working women (très Sex & the City dans leur attitude) déboulèrent sur la terrasse, bien décidées à l’envahir de leur présence et de leurs rires. À peine installées sous le parasol, le thé versé, les trois donzelles discutaient comme si je n’étais pas là, à quelques mètres à les épier. Car il me fut impossible de ne pas éteindre discrètement mon walkman pour mieux les écouter. Florence tout d’abord. Grande brune aux formes élancées, longue chevelure bouclée retombant sur les épaules, peau halée couleur pain d’épice. Difficile de ne pas succomber à ses charmes. Un décolleté ravageur mis en valeur par un petit haut noir, les regards ne pouvaient pas échapper à ce somptueux grain de beauté à la naissance de son sein. Ses yeux vert foncé lui conféraient un regard de braise, laissant croire qu’elle était une guerrière, une chasseuse d’hommes, une dominatrice. Perchée sur ses hauts talons, rares étaient les personnes (les hommes) qui la surplombaient. Sabine, elle, était plus ...