Soumission au bord de la piscine
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
fffh,
fplusag,
oncletante,
fépilée,
vacances,
piscine,
jardin,
hsoumis,
chantage,
chaussures,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
... Elle ferait l’innocente, je suppose et je ferais de même à son égard (rôle que j’affectionne), confiné dans le moule du parfait petit neveu. Quant à mon oncle, vu le peu d’attention qu’il m’accordait, je doute qu’il ne remarque quelconque anomalie dans mon comportement. Je rougirais, fixerais le sol en sa présence, tellement honteux d’avoir ainsi «usé» de sa compagne, mais il m’ignore depuis tant d’années qu’il n’y verra que du feu. Les draps suspendus gouttaient sur la terrasse déjà chaude malgré l’heure. Je contemplai rapidement mon travail (le premier depuis une semaine, un exploit !), puis regagnai le salon. Les volets étaient clos pour conserver la fraîcheur, la pièce en ordre, mais où était Patricia ? Elle devait travailler ce matin, j’avais du mal à me souvenir de son emploi du temps ni même de ses paroles d’hier soir, mon réveil m’ayant rendu partiellement amnésique sur bien des points. Aucune amnésie par contre sur la chaleur de sa bouche, la douceur de ses lèvres, son parfum enivrant, ses cheveux, son regard… Etais-je en train de tomber amoureux de ma tante ? Et elle, qu’en était-il de son côté, avait-elle honte ? Il n’est pas exclu qu’elle craigne, elle aussi, de me revoir après cet incident. Cette dernière pensée me donna un peu de courage, il se pourrait même que j’en use en face d’elle si jamais elle venait à être gênée. Moi qui l’ai toujours connue extravertie, ça m’amuserait de la voir sous un jour totalement différent, comme si nous avions inversé nos ...
... propres rôles. Sur la table de la cuisine trônait un petit mot : «Anthony, je suis partie faire quelques courses avec des amies. Je serai de retour en début d’après-midi. Pour ce midi, sers-toi dans le congél. Ta tantine chérie.» Il ne manquait plus que le clin d’œil et la boucle était bouclée. Voilà qui me réservait quelques heures de tranquillité avant le moment fatidique. Je devinais rapidement à son mot qu’il n’y aurait pas de grands changements entre nous, ce qui m’arrangeait. Mais de là à dire que cet évènement reste sans conséquences… Je m’écroulais sous mes questions, au lieu de profiter de mes souvenirs encore frais, j’imaginais les heures à venir. Résigné et ne sachant que faire, je décidai de garder mon rythme estival, à savoir glander. La piscine m’appelait, le soleil montait doucement dans le ciel, la température était parfaite, et ce matin, Patricia m’avait sucé. Impossible de l’oublier malgré tout. Un nettoyage bref de la piscine pour ensuite en profiter. Les heures passées dans l’eau ces derniers jours, c’était affolant. Mes tartines de Nutella encore sur l’estomac, je me contentai d’une sieste dans le transat au lieu du repas, histoire de parfaire mon bronzage. Je me remémorai sans cesse mon réveil : son regard, ses rares paroles, ses gestes, son parfum. Une érection naissante ne m’empêcha pourtant pas de m’assoupir. Je fus réveillé par des rires aigus de femmes. Le soleil était à son zénith, j’avais dû dormir deux ou trois heures sans m’en rendre compte. Les rires ...