Soumission au bord de la piscine
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
fffh,
fplusag,
oncletante,
fépilée,
vacances,
piscine,
jardin,
hsoumis,
chantage,
chaussures,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
... ramassai mes draps sur les cordes avant de fuir. — Il est tellement mignon, lorsqu’il est énervé. Dit Sabine.— Monsieur fait son boudeur, sa petite Saint Nitouche. Il était moins coincé ce matin. Si son oncle venait à apprendre ce qu’il m’a fait ! J’étais cloué sur place. Je découvrais ma tante sous un jour nouveau, bien plus manipulatrice et vile que je ne l’imaginais. Je plongeai mon regard dans le sien, elle était tout sourire. — Tu ne ferais pas ça. Tu ne le diras pas à Michel ?— Et pourquoi pas ? Ca risquerait d’écourter rapidement tes vacances ici. Et puis si ça venait à se savoir dans la famille, vous imaginez, les filles ? Elle n’était même pas gênée de mentir aussi ouvertement, de me faire ce petit chantage. L’alcool n’excusait pas tout. Je la devinais capable d’un tel stratagème. J’étais à sa merci. C’était sa parole contre la mienne. Elle pouvait prétendre ce qu’elle voulait, que je l’avais violée, que je me suis branlée sur sa lingerie, elle pouvait dire ce qu’elle voulait à qui elle voulait, j’aurais forcément tort, c’était sa parole contre la mienne. J’étais bel et bien à sa merci. Je restai figé sur la terrasse, dans un face à face avec Patricia. Elle avait l’avantage, elle le savait. Avait-elle tout manigancé depuis le début ? Et qu’allait-elle exiger de moi désormais ? Je ne tardai pas à le savoir. Cette après-midi marqua un tournant décisif dans mes vacances et dans mes relations avec Patricia. J’étais devenu son esclave, son petit chien. Elle m’avait à sa ...
... merci. J’aurais pu partir, l’envoyer se faire voir, tout claquer, mais je n’osais pas, effrayé par les éventuelles conséquences d’un tel acte. Et moi qui, quelques heures plus tôt, imaginais qu’elle pouvait être gênée de ce que l’on avait fait. Elle profitait de ma naïveté. — Tu vas nous tenir compagnie toute l’après-midi Anthony, ça t’apprendra à abuser de ta tante. Je posai mes draps à l’intérieur, puis les rejoignis à table. — Non non, inutile de t’asseoir. Tu vas d’abord te mettre tout nu, Anthony. Le jeu prenait des proportions dangereuses. Elle me testait, elle voulait savoir jusqu’où j’étais prêt à aller, jusqu’à quel point je lui obéissais. Ses deux amies ne perdaient pas une miette du duel. — Allez, dépêche-toi ! Ses mots résonnaient avec une nouvelle intonation. Plus stricte, plus autoritaire. Je me pliai à son bon vouloir, contre mon gré, en serrant les dents. Je commençai par enlever mon tee-shirt, affichant mon torse velu et bronzé et mon ventre musclé. — Hmmm, ça devient intéressant tout ça, dit Florence en s’avançant sur sa chaise pour voir de plus près. Sabine elle, ne perdait pas une miette du spectacle, comme Patricia d’ailleurs. — Le caleçon de bain maintenant, allez ! Obéis ! Mon regard était empli de pitié, j’essayai de la raisonner en lui faisant non de la tête, mais elle restait fidèle à sa nouvelle ligne de conduite. J’abaissai donc mon caleçon de bain et me retrouvai vite nu, debout, devant ces trois femmes qui ne me quittaient pas des yeux. Submergé ...