Soumission au bord de la piscine
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
fffh,
fplusag,
oncletante,
fépilée,
vacances,
piscine,
jardin,
hsoumis,
chantage,
chaussures,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
... comblait avec sa bouche experte d’une fellation extraordinaire. Pour ma part, je m’occupais minutieusement de l’entrejambe de Florence qui n’en finissait plus de mouiller…Et Patricia prenait un plaisir fou à admirer pareille scène, à en croire les gémissements qui s’accentuaient au fil des minutes. De ma langue, j’appuyai sur le string, je happai littéralement ses lèvres, les pinçait, cherchait son clitoris. Ses deux mains, toujours plaquées derrière ma tête, me caressaient les cheveux au gré de son excitation, souvent frénétiquement. J’osai me redresser un peu, à la surprise de Sabine qui se releva un peu, elle aussi, pour me garder en bouche, puis j’écartai la culotte de Florence. Je découvris sa chatte imberbe toute humide d’excitation, surplombée d’un minuscule triangle de poils. Déjà bien entrouverte, je m’y engouffrai au plus profond, gémissant de plaisir à l’idée de la goûter plus en détail. Ma langue explora son intimité, je mordillai ses lèvres, je déambulai sur son clitoris, je lapai son jus, et elle gémissait de plus belle. Pas peu fier de faire jouir une telle beauté, j’en avais presque oublié Sabine qui, sûre d’elle, commença à aspirer ma verge. J’ai cru jouir immédiatement, tant cette nouvelle caresse était fabuleuse. C’est dans un bruit de succion assez vulgaire mais très stimulant que je repris ma découverte de Florence. J’aurais pu la lécher de longues heures encore, tant j’étais bien entre ses cuisses, malgré mes genoux à même le sol qui commençaient à ...
... me faire souffrir. Elle quitta sa position un instant, retira sa culotte qu’elle lança vers Patricia, puis reprit sa position avec encore plus d’indécence. Sa vulve offerte à mes regards et à mes caresses, ses jambes écartées, ses pieds reposant sur mes épaules. Patricia justement qui, les yeux mi-clos, avait remonté sa robe sur le ventre et s’enfonçait maintenant deux doigts, tout en se mordant le pouce afin d’étouffer ses cris. Elle semblait prendre bien plus de plaisir que nous, malgré sa solitude. Je l’admirai un court instant, elle était si belle dans sa jouissance, puis Florence me ramena vite à la réalité en me collant à nouveau contre elle. Ce petit manège dura encore de longues minutes : sucé par Sabine, léchant Florence, et admiré par Patricia. Florence fut la première à jouir. Un jus succulent coula de son intimité, je m’appliquai à ne pas en perdre une goutte. Elle me repoussa rapidement, mais gentiment, d’un pied sur mon épaule. Elle plongea son regard dans le mien, et même après avoir joui, elle parvenait à me gêner et me soumettre. A genoux et nu devant elle, le menton encore trempé, Sabine elle, ne cessait de s’appliquer. Voyant que son amie avait pris son pied, elle décida que c’était à son tour. Elle se glissa et se tourna sous moi, en 69, releva sa jupe. Elle m’offrit ainsi son sexe, bien taillé, mais pas rasé. Sa culotte avait disparu je ne sais où (en portait-elle seulement une en venant ici ?).Je m’écroulai sur elle, comme un rapace sur sa proie, et la ...