Soumission au bord de la piscine
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
fffh,
fplusag,
oncletante,
fépilée,
vacances,
piscine,
jardin,
hsoumis,
chantage,
chaussures,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
... dévorai avidement. Elle cria de surprise devant tant de fougue, puis me reprit en bouche et me suça à nouveau. Dans un langoureux 69, nous nous dévorions mutuellement l’un l’autre, oubliant où nous étions, oubliant nos deux spectatrices. Ses deux mains sur mes fesses qu’elle semblait apprécier, de mon côté, j’écartai ses lèvres puis introduisis profondément ma langue. Son goût était plus savoureux et doux que celui de Florence, à l’image sans doute de leur caractère. A en juger les mouvements désordonnés de son bassin, elle semblait apprécier. Ses gémissements, qui se transformèrent rapidement en râles, en attestaient également. Elle ne me suçait plus, mais préférait me branler doucement, s’abandonnant tout entière à son plaisir. Je redoublai d’efforts et d’application pour la satisfaire. Du bout de la langue, elle venait frapper mon gland tout en gémissant. Elle qui paraissait si naïve et timide, je la découvrais presque en chaleur. Nous n’étions plus que deux sur cette terrasse. Elle susurra un faible « viens maintenant » que je pris comme une invitation. Me retournant rapidement, en position du missionnaire, mes yeux plongés dans les siens, elle guida mon sexe dans le sien, sans cesser de me regarder. Une fois à l’entrée, je donnai un bref coup de rein pour la pénétrer, elle ferma les yeux en gémissant. Je n’étais pas encore complètement en elle, mais le fait d’imaginer mes futurs mouvements suffit à lui faire prendre du plaisir. Elle vint croiser ses jambes derrière mon ...
... dos, m’enfonçant ainsi au plus profond d’elle. Je m’allongeai sur elle, mordant son cou. Ses mains parcouraient mon dos, mes fesses, alternant le bout de ses doigts avec ses ongles, marquant à sa manière cet évènement sur mon corps. Elle me força à rester immobile en elle, en me plaquant avec ses pieds dans mon dos, comme pour mieux savourer la pénétration. Puis fatiguée, elle relâcha son étreinte et je commençai de lents mais amples mouvements. Ses gémissements influençaient ma cadence. Tel un maître d’orchestre, je pris un malin plaisir à diriger enfin et dominer l’action. Ma bouche, ma langue, mes lèvres, découvrirent ce corps encore inconnu. Je l’embrassai à pleine bouche, lui violant littéralement la langue. Puis descendis jusqu’à ses petits seins et y découvris ses tétons qui ne demandaient qu’à être mordus. Je me déchaînai, exorcisai toutes mes frustrations sexuelles estivales, tous mes fantasmes. C’était comme une première fois pour moi. Ce n’était pas seulement à Sabine que je faisais l’amour, mais à Florence, et surtout à Patricia. Mes coups de reins devenaient plus violents, plus bestiaux. Je transpirai sous ce soleil de plomb, sans me soucier de ce qu’on pouvait bien penser de moi, de nous. Du coin de l’œil, je devinai Florence et Patricia attablées, en train de nous regarder. Est-ce que tout avait été manigancé ? Voulaient-elles me voir en action avec Sabine ? Ou n’était-ce juste qu’un jeu entre amies, un pari stupide dans lequel je n’étais que le dindon de la ...