Branleur !
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
h,
Collègues / Travail
toilettes,
douche,
telnet,
Masturbation
humour,
... aussi. Mais à part ça, c’est l’idéal pour les urgences. Ils ont même prévu le PQ pour après. Comme dans une cabine de sex-shop. Les yeux fermés, je me fais mon film. Scénario basique inspiré de l’environnement immédiat. Hélène, la petite chargée d’affaire sexy et bien roulée. Maud, la brune directrice commerciale, quarante ans, cheveux courts, pour qui le terme marketing signifie décolleté plongeant, minijupe en toute circonstance et jambes interminables. La hiérarchie est bien établie entre les deux : c’est la petite qui va bouffer la grande. Je vous donne trois minutes pour bien vous figurer la longue Maud s’écartant les fesses à deux mains pendant que la belle Hélène négocie sa prime de précarité en prouvant son talent pour les langues dans le prose. Vous y êtes ? Moteur… Action ! C’est une vieille caméra manuelle. Il faut tourner la manivelle pour que ça marche. Pendant que les images commençaient à défiler, j’ai pris le manche en main et je contrôle la situation. Deux doigts en collier au-dessous du bourrelet, les trois autres refermés sur la hampe, l’animal est paré pour la traite. La mécanique est basique (oscillations du poignet) mais la maîtrise en est subtile. Il faut tempérer la fréquence et la pression en fonction de l’intensité de l’action. Là, par exemple, je tourne au ralenti, parce que Maud est en train de chercher quelles nouvelles cochonneries elle pourrait imposer à Hélène. Mais supposez qu’Audrey, la timide programmeuse du service infographie, ramène ...
... ses petits seins pointus et ses jupes légères dans ce bureau de gouines. Il faudrait évidemment grimper dans les rapports. Surtout que la grande brune pousse déjà sa gueulante. Elle en a marre, qu’on puisse pas se faire languer l’oigne trois minutes sans être dérangée, dans cette boîte de tarés. Audrey, elle, est adorable. À peine trentenaire, on dirait une première de la classe qui aurait grandi trop vite. Emotionnellement parlant, on l’imagine plus à l’aise devant un jury de thèse que dans l’environnement compétitif, brutal et sexuellement tendu d’une société de services informatiques. On dirait une poupée ancienne, tellement elle s’habille sage, ne parle pas fort et se déplace à petits pas. Elle est capable de pondre du code de rêve en un temps record, et elle est incroyablement cultivée, mais on a toujours peur qu’elle tombe dans les pommes si quelqu’un prononçait le mot « bite ». L’ambiance est au bouffage de derches, ce soir. Y’a des soirs, c’est comme ça. Alors en pas longtemps, la petite Audrey se retrouve à poil, la bouche entre les fesses d’Hélène (Hélène, l’ex-lécheuse. Faut suivre, sinon ça n’a pas de sens), tandis que Maud prodigue de savoureux conseils pour lui apprendre comment on fourre convenablement sa langue dans le cul d’une amie. Hélène se trémousse et ondule sa croupe en incitant Audrey à aller plus profond. Alors là, surtout, faut faire gaffe à pas se laisser dépasser par les évènements. En effet, subrepticement, pendant que vous relisiez le précédent ...