1. Branleur !


    Datte: 23/12/2017, Catégories: h, Collègues / Travail toilettes, douche, telnet, Masturbation humour,

    ... paragraphe, on est passé en surrégime, à la salle des machines. Le manomètre signale une dangereuse surpression. Tous les signaux sont au rouge et on approche de la charge critique. C’est du bon, ça, madame. Du très bon. Mais je réalise soudain avec horreur que, dans mon orgie saphique, j’ai oublié un détail fondamental : Où vais-je éjaculer ? Je ne parle pas de la réalité, non. Je vous ai déjà dit qu’en ma sainte stalle (aire de repos des open-space, havre d’intimité de tous les lieux publics, confessionnal des masturbateurs via grand téléphone blanc…), tout est prévu pour contrôler efficacement une émission raisonnable de fluides corporels. De toute façon, pour tout vous dire, la réalité, en cet instant précis, je m’en branle. Où vais-je éjaculer, dans ce tas de mamelles et de cuisses qui s’agite sous mes yeux, dans ce fragile univers rêvé où je vis mes dernières secondes de félicité ? Telle est ma question ! En nier l’importance reviendrait à bafouer les instincts qui firent la survie de l’espèce, même si, je vous l’accorde, la démographie n’est pas ma préoccupation du moment. Bon, d’une pirouette mentale, je me téléporte dans le bureau le plus chaud de l’hémisphère nord et de sa périphérie immédiate. Qui sera l’heureuse élue ? Maud, la directrice commerciale, qui interrompra ses explications techniques pour me prendre en bouche au moment fatidique ? Audrey, qui laisse sa chatte béer entre ses cuisses fraîches quand ses prouesses orales lui occupent l’esprit ? Ou ...
    ... Hélène, dont le trouduc doit à présent être bien assoupli, tant la gentille Audrey prodigue le premier anilingus de sa vie avec toute l’application qu’une élève consciencieuse met au parachèvement d’un travail important. Attention ! Faut pas réfléchir trois plombes, sinon ça finit par terre. Si on pense « Maud, heu… non, plutôt Audrey », splatch ! Pile entre les deux. Frustration et consternation. Il faut rester concentré et décider instinctivement. Allez ! C’est Hélène ! Dans le fion ! 3… 4… Blam ! Dans le mille ! Sentant son trou béant réclamer une bite, madame Hélène Sarge tourne son cul vers moi. Je m’y déverse sans retenue aucune, ni patience recommandée en pareilles circonstances. Vous verriez ce carnage, messieurs dames. Sûr qu’elle va déborder. Pas possible autrement. C’est un vrai lavement. Pendant que sa collègue, Audrey Daumesnil, retourne la laper pour se nourrir de mes débordements, le projectionniste, dans sa cabine, meurt d’une crise cardiaque. Lent fondu au noir. Retour à la réalité austère du chiotte vaguement kaki d’un bloc industriel. Carrelage douteux. Dévidoir automatique. L’endroit a beau avoir été conçu pour les besoins de la cause, il y a un truc que j’ai oublié de préciser, c’est qu’il faut prévoir une ou deux feuilles « avant ». En effet, difficile de ne pas s’étaler partout quand on n’a plus un doigt de sec à la main droite. Avec le coude et la main gauche, j’arrive à déchirer une bande de trois feuilles, grâce à laquelle je commence à m’essuyer la main ...
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