1. Mon voisin est un gros porc et j'aime ça. (5)


    Datte: 28/12/2017, Catégories: Trash,

    ... rencontrais Kévin. Quant au gars qu’elle m’avait piqué, elle s’en était débarrassée peu après. J’avais entendu dire qu’effectivement c’était un gros queutard pas honnête pour deux sous, un mec à embrouilles. Pour Pauline, elle s’en foutait. Elle voulait profiter de la vie, pas se mettre en ménage. Elle avait une vie sexuelle très très libre. Je savais où elle travaillait... et je décidais d’y aller pour la rencontrer "par hasard" à sa sortie du boulot. Elle m’accueillit immédiatement. Après quelques circonvolutions, je lui demandais pardon pour mon comportement injuste et elle m’offrit de passer la soirée avec elle pour nous réconcilier. Je lui racontai tout. Elle me proposa de passer quelques jours chez elle pour tout débriefer et faire le point... et s’amuser. Je le fis sans donner de nouvelles à Jean-Pierre ni sans répondre à ces messages qui s’interrompirent au bout de 48 heures à peu près. Pauline m’avait convaincue de rentrer avec elle pour le week-end. Ainsi je ne serai pas seule face à Jean-Pierre, mais c’est lui qui serait seul face à nous. Il faudrait qu’il assure. En fait je restai chez elle une dizaine de jours avant de rentrer chez moi. De retour à la maison, une veille de jour férié en début de soirée, avec Pauline, je lui envoyais un message. — Je suis de retour. Je ne reçus pas de réponse. J’insistai mais en pure perte. — Envoie-lui une photo dénudée, suggéra Pauline. Je le fis. Pas de réponse. — Si ça se trouve il n’est pas là dit-elle. — Si, il est là. Sa ...
    ... bagnole est sur le parking et il y a de la lumière qui filtre depuis sa fenêtre.... je l’ai vue en rentrant. — Prends une photo plus suggestive et invite-le franchement. Je me pris donc en photo, à genoux, jambes écartées m’ouvrant la vulve avec les doigts pour bien montrer mon clito et lui demandant de venir apaiser le feu qui me dévorait. Il répondit... violemment. En substance, il me rappelait que lui aussi était libre de faire ce qu’il voulait et que je ne pouvais pas disparaître dix jours sans donner de nouvelles et réapparaître comme ça et le convoquer sur commande ! Il s’était inquiété. Il me suffisait de lui dire que je n’avais pas envie de me faire sauter et il m’aurait laissée tranquille. Il me rappelait qu’il ne m’avait jamais forcée à rien que c’est moi qui étais venue le trouver et que je lui avais manqué de respect. Il n’avait pas tort. Je m’excusai platement, lui demandai de me pardonner et de venir en guise de réconciliation. Il me répondit d’aller me faire foutre. — Dis-lui que tu es avec moi ! proposa Pauline. J’envoyai un nouveau SMS. — Suis avec une copine. — Eh bien amusez-vous toutes les deux ! J’étais un peu désespérée. — Il faut le provoquer... envoie-lui une photo de moi. Nous fîmes un cliché des plus lascifs. Pauline à quatre pattes, écartant sa moule comme je l’avais fait sur la première photo et tournant la tête en arrière avec un regard provocant et la langue sur les lèvres. — Beau petit lot... C’était le premier signe encourageant. — Il faut le ...