Mon voisin est un gros porc et j'aime ça. (5)
Datte: 28/12/2017,
Catégories:
Trash,
... m’abandonneras plus jamais ? Ton retour est définitif ? — Plus jamais.... mais je garde ma liberté sexuelle. — OK, moi aussi et je pourrais donc continuer de sauter la grosse truie? Tu ne seras pas jalouse ? — Tu sautes qui tu veux. Et je te trouve injuste, elle n’est pas si grosse que ça! Dis-je pour plaisanter et réinstaurer un semblant de complicité. — Alors je veux bien que vous veniez, mais d’abord gouinez-vous en cam pendant que je bourre la vieille. Ça va m’exciter. Il reprenait la main. Nous voulions le forcer à ramper devant nous et c’est lui qui nous imposait ces conditions. J’avais capitulé sans combattre ! Il faut dire qu’il ne fut pas difficile à Pauline d’obtempérer. C’était moins évident pour moi. Je n’avais jamais couché avec une femme. Mais Pauline sait y faire. Nous reprîmes donc notre partie de ciseaux jusqu’à l’orgasme clitoridien qui ne tarda guère. — Bouffez-vous la moule en 69 ! Ce fut un régal. Puis les ordres suivirent. "Caresser vous les seins, doigtez-vous, paluchez-vous, pincez-vous les tétons, mettez-vous des doigts dans le cul.. léchez! Fouette le cul de cette gouine avec ta ceinture, etc..." C’était super bon. La peau de Pauline était douce, ses seins fermes, ses doigts habiles, sa langue nerveuse.... Je regrettai de ne pas en avoir profité plus tôt surtout que j’avais eu tout le temps de le faire. Pendant ce temps-là, il continuait de baiser la "grosse" femme qui jouissait bruyamment et en mouillant abondamment. La face rubiconde de JP ...
... dégoulinait de cyprine et il culbutait la fille inlassablement. — Venez les salopes ! J’vais jouir. Nous nous précipitâmes comme si nous avions été montées sur des ressorts. Je pris les clefs, nous franchîmes le palier en un éclair et il nous fallut peu de temps pour nous retrouver autour du lit. La femme était sur le dos, jambes ouvertes et à genoux, JP se masturbait. Je regardai distraitement la femme dont les cheveux longs avaient été teints de façon à couvrir le blanchiment de la racine des cheveux d’un blond presque vénitien, effectivement très proche du mien mais, je ne m’attardai pas sur elle. Son loup couvrait entièrement le visage et ses yeux étaient clos. Je me fixai rapidement sur la bite, le fantastique braquemart, le dard colossal, objet de tout mon culte... Le sperme jaillit et vint s’épandre sur les poils de la chatte. — Sucez-moi la bite les filles. Pauline se précipita sur le gros nœud. — Bouffe sa tarte au poil avec la sauce ! Ma copine se pencha et mangea la moule avec voracité. Quand elle eut avalé tout le jus, il nous fit aller dans la salle de bain. Impatiente, j’ouvris la marche. — Baise la vielle jusqu’à ce que je rebande ! L’ordre n’était pas pour moi. Les deux femmes s’allongèrent sur un tapis de sol et commencèrent à s’embrasser fiévreusement. Comme je m’approchai malgré tout dans l’espoir de me joindre, JP m’arrêta. — Pas toi, elle est pas pour toi. Viens par ici toi ! Il s’assit sur un fauteuil. Me posa des pinces à seins, prit une cravache et me fit ...