1. Mon voisin est un gros porc et j'aime ça. (5)


    Datte: 28/12/2017, Catégories: Trash,

    ... chauffer, viens on se met en ciseaux ! — Quoi ? — En ciseaux, chatte contre chatte.... — Quoi ? — Oui... ça va le provoquer. Sa virilité va être mise à rude épreuve. Voir que tu peux jouir avec une chatte autant qu’avec une queue... — Pauline... j’ai jamais fait ça. — C’est cool... je vais t’apprendre. — Tu fais ça... souvent ? — Dès qu’une nana me plaît... — Ah... Je savais pas... — Mais je ne te dis pas tout...Allez, viens ! Je m’exécutai. Très vite ma vulve frotta la sienne et je ne tardai pas à y prendre goût. Je pris une photo et l’envoyai. — Amusez-vous bien les filles... moi j’suis en train de troncher une bonne grosse truie délaissée par son mari ce soir... j’suis pas libre. Une photo suivait. On y voyait la croupe d’une femme agenouillée, offerte. Le cliché était pris avec soin. Les jambes écartées de la femme dévoilaient sa vulve rougie par le plaisir, boursouflée d’avoir sans doute déjà été trop usée, abusée, qui se détachait sur une peau très blanche. Le cul dressé en l’air, la poitrine écrasée sur le matelas, on voyait les poils pubiens, très ras et très denses à peu près de la même couleur que les miens encore qu’il aurait fallu qu’ils soient plus longs pour que je m’en assurasse. Je me dis que décidément, il aimait les nanas dans mon genre et qu’il m’avait trouvé une sorte de sosie. — C’est vrai ? Amène-la ! Suggérai-je après ces courtes observations. — J’peux pas. — C’est peut-être une vieille photo. Rien ne nous dit que tu es avec cette meuf en ce moment. ...
    ... — Branche-toi là-dessus ! En quelques clics et quelques minutes, un show en webcam s’ouvrit sur mon écran. La femme, désormais sur le dos, avait un masque. Elle ne semblait pas de la première jeunesse, peut-être entre 50 et 60 ans mais avait encore des formes généreuses malgré des seins un peu tombants, mais gros, comme les miens, selon les goûts très prononcés de Jean-Pierre pour les mamelles opulentes. Il lui faisait subir les derniers outrages. — Tiens vieille pute ! Y’a longtemps que t’as pas été pinée comme ça ! Le jeu consistait à passer du fion à la chatte et vice-versa en enfilant à chaque fois la matraque dans le trou d’un coup violent et décisif et en empoignant les jambes et les replier sans ménagement pour soulever le croupion autant que nécessaire. — Tu la connais la meuf ? Questionna Pauline. — Non pourquoi ? — Ben pourquoi il lui met un masque ? — J’sais pas. Elle veut pas être reconnue ! — Donc si elle a peur d’être reconnue, c’est que tu la connais. Une femme de l’immeuble ? — J’sais pas. Je pense pas. Elle à l’air plutôt blond foncé, comme moi, et il n’y en a pas comme ça dans l’immeuble. Nous regardâmes la scène avec envie. — C’est clair qu’il a une grosse bite ton voisin et qu’il sait s’en servir ! La vache ! Quel baiseur. J’ai envie qu’il me prenne. Je lui demandai de nous rejoindre. — Non ! — Allez, soit cool ! — Et tu feras ce que je te demanderai ? — Oui ! — Et ta copine aussi ! Un coup d’œil de Pauline m’invita à répondre affirmativement. — Et tu ne ...