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TABLE DE SAPIN 5
Datte: 05/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... pas de si tôt elles se surpassent pour le plus grand plaisir de leurs partenaires. Ça te va comme réponse ? - Oui.. Enfin. N’êtes-vous entièrement satisfaite sexuellement par votre femme ? Que vous manque-t-il. - Nous sommes en parfait accord sur le plan sexuel. Là n’est pas le problème. Je recherche quelque chose de supplémentaire. Et mon épouse ne peut en faire partie. Étant la mère de mes enfants. Alors cela nécessite d’aller voir ailleurs. Elle me souriait et fit claquer la portière. Je l’avais regardé s’éloigner. Pensif. Cette gosse avait vraiment du tempérament. Le soir, j’avais eu du mal à dormir. Allongé sur le dos, les yeux ouverts dans le noir, je me souvenais de toutes les paroles de la jeunette. Je revoyais aussi et surtout son physique. Je regrettais un peu de ne pas lui avoir fait l’amour. Un mal pour un bien, cela me permis de réfléchir pour organiser un triolisme. Mais avant de prendre la route me menant jusqu’à mon travail je fis un décrochement pour aller rendre une petite visite à Colette. Des idées plein la tête. Elle ma complice. Aussi branché cul que moi, c'est dire. Elle qui ne pouvait rien me refuser. Étant le seul à lui donner de violents orgasmes en lui mangeant la chatte. Mais avant de passer à son domicile. Je me suis alors rendu à la boulangerie près de chez elle, pour acheter des croissants. Au moment de franchir son portail, je sentais une bosse naissante dans mon pantalon. J’étais tout de même un peu anxieux. À l’idée de ce que j’allais lui ...
... proposer. Elle m’avait entendu arriver et elle m’ouvrait la porte. Comme toujours sa tenue vestimentaire avait été le cadet de ses soucis. - À quoi me vaut ta visite ? Comme je ne répondais pas, elle crut devoir ajouter : - Besoin de vider tes couilles peut-être ? Après avoir verrouillé la porte pour plus de sécurité, elle se précipita jusqu’à la fameuse table de sapin. Avec des gestes fébriles, elle retroussa sa jupe écossaise. - Je ne sais pas pourquoi mais je savais que tu allais passer aujourd’hui. Et c’était pour cela, connaissant mes exigences, elle avait négligé de mettre une culotte sous son collant. Je me fis un plaisir de me fabriquer une fenêtre à travers les fines mailles. À l’endroit de son intimité. Comme pour laisser l’air frais dissiper la touffeur de sa toison dense et sombre. À plat ventre sur le plateau de la table, elle se cambra. Dégageant le profond sillon de sa croupe. M’offrant une vision affolante de son intimité embroussaillée. Il m’en fallait pas plus pour que mon cœur tape dans ma poitrine. D’une voix faible, elle dit : - Qu’est-ce que tu attends ? Tu sais que je ne tiens plus. Fais ce que tu veux de moi. Avec une fébrilité concertante, je pus me débarrasser de tout ce qui me gênait. Faisant jaillir mon sexe rigide. Elle ne put retenir un gémissement rauque quand mes mains prirent contact avec ses hanches. Les empoignant. Mon regard se porta sur son anus mauve, légèrement boursouflé sur les bords. - Pousse ! Je veux le voir ton trou du cul s’ouvrir. ...