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TABLE DE SAPIN 5
Datte: 05/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... Je veux qui me parle. Colette tout en poussant sur ses sphincters, ajouta : - Tu veux qu’il te dise « viens me ramoner, je ne suis pas qu’un trou à merde. L’anneau trié palpitait un instant. Puis se dilata, obscène. Au point de s’évaser. Une invite que je ne manquais d’honoré. Elle gémissait de nouveau en sentant l’extrémité de ma queue venir buter contre l’ouverture la plus secrète. Ma queue s’enfonça lentement dans son cul. Une odeur chaude montait jusqu’à mes narines. Sa rondelle grimpa sur ma bite. M’aspira, m’entraîna jusqu’au fond. Colette tremblait de tous ses membres. Je l’entendais haleté, alors qu’elle secouait sa tête. C’était l’instant idéal pour négocier ma petite affaire. Alors dans un lent va-et-vient où ma queue explorait chaque interstice, je collais ma bouche à son oreille, et lui exposais mon dilemme. Très vite je fus réconforté par sa réponse. - Un trio. Pourquoi pas. S’extasia-t-elle. Je l’ai trouvé mignonne cette gamine. Comment s’appelle-t-elle. J’étais tout de même dans l’expectative. Je pensais tout connaître sur l’imagination débordante de ma belle-mère. Mais là, elle m’avait surpris. Elle me parut manier avec talent le sens de l’esquive et de l’embuscade. - Je ne sais pas. Et d’ailleurs ...
... je m’en fous à vrai dire. Rétorquais-je. Euphorique, je conférais à mon membre une envergure décuplée. Je ne m’étais jamais senti aussi gros. Aussi puissant. Pour le plus grand plaisir de Colette. Qui râlait. Balançant son fessier d’avant en arrière. Proche de l’évanouissement. - Oui, vas-y ! Encule-moi… encore… putain que c’est bon… défonce-moi. Souffla-t-elle d’une voix presque méconnaissable. Puis, comme soulé par l’obscénité de ses paroles, j’accélérais le rythme à en perdre le souffle. Il n’en fallait pas plus pour qu’elle soit prise de quelques convulsions de bonheur. Ses plaintes se transformaient en cris de jouissance, déclenchant mon propre orgasme. Mon corps s’arqua. Je m’entendis pousser un long gémissement rauque, alors que ma sève gicla dans l’anus avec une force et une impétuosité qui me parurent presque surnaturelles. Une douche plus tard, je suis ressorti de chez elle heureux et soulagé d’avoir eu une réponse affirmative. J’avais décidé de mettre mon amante qui désormais était plutôt mon esclave de cul, à l’épreuve. Au volant de ma voiture, je souriais en pensant qu’elle était doucement mais sûrement devenu ma cochonne. Nous formions un couple sulfureux. Provocateur et surtout, IGNOBLE… À suivre…