Les amants de Lady Schneckerley (3)
Datte: 29/12/2017,
Catégories:
Hétéro
Les leçons de Callddick portaient leurs fruits. Je donnai pleinement satisfaction à mon mari... et à son fidèle serviteur qui tenait à "m’honorer" tous les jours. Je remarquai rapidement que mon mari s’épuisait dans nos parties fines. Je décidai donc d’en augmenter le rythme et de le pimenter. Je me laissais fouetter, pincer et battre juste ce que je pouvais supporter. Ces scènes violentes maintenaient mon époux en éveil et en état d’excitation plus longtemps. A la fin, il en ressortait harassé. Je m’arrangeai alors pour venir le provoquer trois à quatre fois par jour. Ses instincts libidineux et pervers le soumettaient vite fait à mes tentations d’autant que j’étais devenue experte à le séduire. Je mêlai Calldick à ces jeux autant que je le pus, tant pour prendre mon plaisir que pour qu’il excite son maître avec les sangles, les godemichés et les coups de fouet. Mon plan réussit plus vite que prévu. En quatre mois, j’avais usé la bête, j’en étais venu à bout. Un soir d’hiver alors que je l’avais fait bander pour la cinquième fois de la journée, il fit un malaise. J’appelais au secours. Calldick et d’autres serviteurs l’allongèrent sur son lit où il resta trois jours sans se réveiller. Il était gardé jours et nuits par des domestiques. Quand on vint me prévenir qu’il était enfin sorti de sa torpeur, je crus pleurer de rage. Il avait mangé et bu et était mieux mais ne pouvait parler. Je demandai à rester seule avec lui. Quand la pièce fut vide, je me déshabillai lentement, ...
... me caressai devant lui, exhibant ma chatte . Je le suçai mais sa pauvre petite trique amorphe resta désespérément inerte. Je fis venir Calldick. "Baisez-moi Calldick, mon mari le veut" — Mais madame, il n’a pas l’air en bonne santé. Ne craignez-vous pas de le fatiguer. — Il me l’a demandé, il faut obéir Calldick. — Est-ce bien ce que vous voulez Mylord ? Le vieux porc était bien incapable de répondre mais son regard plein de lubricité parlait pour lui. De toute façon, je m’étais déjà agenouillée et décalottait de la langue la grosse verge de l’âme damnée de mon mari. Dès lors celui-ci était vaincu. Nous baisâmes sur le lit, sur le lit de l’agonisant dont l’œil humide et les lèvres pincées me laissaient deviner toutes les frustrations. Je vis qu’il suffoquait et que sa respiration augmentait. "Venez Calldick, mon mari est fatigué. Vous allez me finir ailleurs. Appelez pour qu’on vienne le surveiller". Et m’adressant à mon mari : "Reposez-vous bien Monsieur, votre serviteur va bien s’occuper de moi. Il doit suffire que vous y pensiez pour avoir votre contentement". Je quittai la chambre juste avant que n’arrive une domestique. Sitôt dans l’escalier, Calldick me repénétra par l’arrière. Il me bourrait depuis à peine dix minutes que nous entendîmes des cris. Aussitôt, je me rhabillai et me rendis au chevet de mon mari. Celui-ci s’était de nouveau évanoui, ses yeux étaient révulsés, sa peau tendue comme un vieux parchemin. Je demandai qu’on appelât le médecin. Il tarda à venir et, ...