1. Les amants de Lady Schneckerley (3)


    Datte: 29/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... déception fut grande mais je me dis que je l’avais intimidé. Je le fis revenir les jours suivants mais bien vite je dus me rendre compte que c’était un bien médiocre baiseur. Il fallait que je prenne chaque initiative et, quand je sortais des sentiers battus, il déchargeait immédiatement comme quand je le pris entre mes seins. En fait, il avait beau être magnifique et bien monté, il ne se préoccupait juste que de sa jouissance et baisait comme un lapin. Je quittai la maison de mon père et fis le tour de tous les domaines de mon mari pour y trouver un mâle bien pourvu qui pût me satisfaire. Cependant ce fut difficile car dès que je développais des amours ancillaires, les heureux élus se permettaient des libertés avec moi et je ne voulais à aucun pris retomber sous la coupe d’un homme m’eût-il fait jouir dix fois par jour. Quand la période de veuvage fut terminée, on me pria de toute part de me remarier. Mais ce que je recherchai c’était une queue, une queue solide, endurante, un boutoir pour assouvir mes désirs que je ne comblai plus guère qu’avec le précieux matériel que m’avait laissé mon époux. J’en vins même à regretter l’ignoble Calddick, non pour lui même mais pour les dimensions de son sexe et ses façons de s’en servir. Il n’était pas un jour que mes amis ou ma famille me pressent de trouver un époux et on m’en présentait beaucoup qui pouvaient faire l’affaire. Je scrutais ces jeunes et ces moins jeunes, fixais mon regard sur leur entrejambe pour voir si la bosse y ...
    ... était belle et testais leur caractère pour en trouver un qui serait à ma merci. Le destin travailla pour moi. J’avais été invité chez une amie de ma regrettée mère que je n’avais revu de longtemps. Son Mari, Lord Glanfort, marquis de Latrick était richissime. Un matin que je me promenais près des écuries j’entendis des bruits étouffés mais qui ne trompaient point. Je m’approchais et découvrit William, le fils de Lord Glanfort, un beau garçon un peu plus jeune que moi qui était en train de se faire pénétrer par un palefrenier. Lord Glanfort arriva sur ces entrefaites. Sa colère fut sans borne. De sa cravache il frappa le pauvre domestique qui fut bientôt couvert de plaies. Il le menaça de la potence mais William le supplia à genoux. "Non père, ne lui faites pas de mal. Je ferai tout ce qu’il vous plaira"! — Tout ce qu’il me plaira vraiment ? — Je vous le jure ! — Vous êtes une honte pour notre famille, un dégénéré, un pervers. Il faut que cela cesse vous-dis-je. Jurez-moi de ne plus jamais vous retrouver avec un... inverti de la pire espèce, avec un bougre... — Je vous le promets. — Et de vous marier... — Me marier ! — Vous marier vous dis-je ou je livre ce chien à la potence ! — Soit, je me marierai. — Quant à vous, je vous chasse sur le champ. Ne reparaissez jamais devant-moi ou c’est la corde. Cette dernière parole jetée au valet eut un effet immédiat. Il ramassa ses hardes se réajusta comme il put et disparut. Je décidai de le suivre. Il regagna les communs et monta dans une ...
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