1. Les amants de Lady Schneckerley (3)


    Datte: 29/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... après avoir examiné le vieux débris, il me fit savoir qu’il restait peu de temps. En épouse modèle, je m’effondrai. L’agonie dura encore deux jours. J’étais veuve, débarrassée de cette loque perverse, enfin. Quand les obsèques furent passées, je fis venir l’intendant du domaine, Monsieur Brokfield, un homme efficace mais discret que mon mari ne cessait d’humilier et de rabrouer et qui n’était resté à son service que pour mieux défendre le reste du personnel tout aussi méprisé et soumis aux volontés de Calldick. "Madame la comtesse m’a demandé"; — Vous êtes un serviteur fidèle Brockendfield. — Je l’espère Madame. — Je crois que vous n’aimiez guère mon mari. — Monsieur le comte était parfois dur Madame, surtout quand il écoutait ce .... Calldick. — En effet... Avez-vous quelques hommes dont vous puissiez être tout à fait sûr ? — Qu’en attend Milady ? — Je veux chasser cet infâme Calldick. Mais il résistera peut -être. Il faudra s’assurer de lui. — Oh, quant à cela, s’il s’agit de le jeter à la porte, j’aurais tous les gens de vos domaines avec moi. — Alors, faîtes.... Dites-moi... Le personnel est-il satisfait de ses gages ? — Ils sont meilleurs dans bien d’autres maisons Madame, mais il est difficile de trouver à se placer aujourd’hui. C’est ainsi que beaucoup sont restés au service de Monsieur malgré les difficultés. — Bien! Vous me ferez des propositions pour que tout le monde soit augmenté. Et je veux que l’on traite chacun avec humanité désormais. Est-ce entendu ? — ...
    ... Tout le monde vous bénira madame. M’étant ainsi attachée toute la domesticité, je pus avoir le champ libre. Mon veuvage me permettait de retourner chez mon père. J’avais en arrière pensée de pouvoir me faire prendre par Robby, le valet dont j’avais gardé de belles impressions. Je demandai à ma vieille Ann de lui faire dire de me retrouver dans ma chambre dès le soir de mon arrivée. La pauvre me réprimanda mais quand je lui démontrai ce que j’avais souffert avec mon défunt mari, elle ne s’y opposa plus. Le soir venu, Elle fit entrer Robby dans ma chambre. Il resta debout un peu nigaud sur le tapis. "Je vous ai fait venir car mon défunt mari me maltraitait et on dit que vous savez être tendre avec les dames..." Il ne sut que répondre. J’enlevai alors mon déshabillé et découvris ma nudité. Je m’approchais de lui, enlevai son surcot puis son pantalon. Il bandait dur. Je pris le vit en bouche et le suçai énergiquement. Il était plus petit que celui de Calldick mais de belle taille tout de même. J’en appréciais la forme bien courbée, le gland finement ciselé et sa dureté de roc. Quand enfin je l’eus bien préparé, je m’allongeai sur le lit et écartai mes jambes au plus grand, lui offrant ma vulve. J’aurais aimé qu’il me broute le minou mais il me pénétra directement. Je m’accrochai à lui, parcourus ses membres musclés et robustes, son dos d’Apollon et ses fesses de statue. Sa queue tapait rapidement au fond de moi; elle était bonne mais il éjacula rapidement... trop rapidement. Ma ...
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